À sa merci
ement sur ma peau. La peau de mes bras est lisse, comme si j'avais renaît. Il en va de m
et de mes mains, regardant autour de moi frénétiquement. Quand je la vois debout près de la dou
ouge. Je déglutis et regarde à nouveau mon corps nu. "Pa
ns un centre d'enchères humaines, tout ce qu'elle fait est inapproprié. Je lui jette un coup d'œil alors qu'elle s'approche de moi et pl
e pas ?" Mes sourcils se froncent. Comment sait-elle cela ? Je baisse les yeux vers le bracelet blanc attaché un peu trop serré autour de mon poignet. Mon esprit c
e moi, et que j'ai probablement raté le reste de sa phrase. J'espère que je n'ai pas ra
vers la douche. Elle pose le savon sur l'étagère de la douche et se tourne vers moi, son expression devient choquée alors
entrer dans la douche. L'eau chaude tombe en cascade sur mon corps. Oh c'est sympa. Je ne me souviens pas de la dernière fois où j'ai ressenti une telle chaleur, mais ce que je sais, c'
mme prévu, alors pourquoi réessayerais-je ? Je sais que ça se terminera par la mort, et pour l'instant j
Elle ne dit rien en me lavant le dos. Je courbe mes lèvres pour ne pas laisser échapper un sifflement alors qu'elle lave doucement les marques. J'es
bles. Ils étaient complètement opposés, mais vous savez ce qu'ils
eront de légères cicatrices, imaginez un vrai fouet. " Mon cœur se serre à la mention de la cicatrisation. De vrais fouets...? Des esclaves? PUTAINS ? Je ne veux pas être utilisé comme un
ux. Ses mains commencent à masser mon cuir chevelu avec un shampoing parfumé à la rose. Oh, c'est agréable aussi... Je pousse m
signifie que tu as plus de chances de ne pas être un esclave." Elle
e dans la gorge. Ça ne peut pas être vrai. C'est littéralement dans le nom. Je ne serai que mon sexe, rien d'autre. C'e
us-sols froids et vous récupérerez les restes de tout le monde." Elle explique. Dang... peut-être que je devrais envisager de c
er les larmes aux yeux, je ne veux absolument pas vivre ça. Personne ne mérite ça, et cer
e larmes, sans même réaliser qu'elles étaient tombées. Ses mains commencent à mettre
de l'huile pour bébé infusée, en la frottant tout le long de mon corps. Est-ce qu'ils nous font ressembler à des bébés ou quelque chose
ce dernier, s'il vous plaît. Les pensées passées sortent de mon esprit alors qu'elle se lave la main sous la pomme de douche avant de la ramasser. Elle lave l'après-shampoo
ble. Est-ce parce que c'est la dernière fois qu
Elle ajoute. Le besoin de plaisir n'est pas quelque chose qui est présent dans ma tête en ce moment. La seule chose que je veux faire maintenant, c'est être à la
mes longs cheveux acajou. Elle tire les nœuds assez brutalement, ce qui me fait tirer la tête en arrière. Après trente coups de fouet, tous les nœuds sont sortis et mes boucles nat
ration. S'il te plaît, ne dis pas que tu vas changer la couleur... c'est la seule chose que j'ai reçue de ma mère... "Nous allons la
ectant mes ongles, fronçant les sourcils à mes cuticules rugueuses. Les ongles eux-mêmes sont longs, mais abîmés. Elle attrape le coupe-ongles et coupe le
ter les différents outils et produits sur la table, certains que je n'ai jamais vus auparavant. Ils ont l'
lique comme si c'était la chose la plus décontractée qui soit. Je déglutis et penche la tête en arrière, essayant de me détendre au maximum. Une fois qu'elle a commencé le traitement, des
grande porte se refermer. "Je pense que tu as un admirateur." El
pidement car ça pique un peu. Alors que ma vision devient claire, je me regarde dans le miroir. Put
elle et elle attrape mon menton et inspecte mon visage. Je déglutis
ien, je suis peut-être un peu maigre parce que je n'ai pas mangé un bon repas depuis des jours et que j'ai épuisé toute mon énergie. Elle se dirige vers un grand casier, prend une clé dans son soutien-gorge et la met dans le trou de la serrure. Je la regarde ouvrir le
mange rapidement la barre, goûtant à peine le beurre de cacahuète dans le noyau. Je lève les yeux vers elle alors que la barre est descendue dans ma go
acard. Elle se penche et attrape ce qui ressemble à de la lingerie. Mon visage
eille d'eau et entre dans le grand placard, m'arrêtant à côté du pouf. La dente
anche, d'une culotte, de bas blancs et d'un porte-jarretelles. Cela re
que j'enfile les bas, elle s'approche de moi et me tend une robe blanche jusqu'aux genoux.
j'en doute fortement. Je ferais n'importe quoi pour avoir à nouveau 15 ans. Ne pas parler aux ouvriers du bâtiment à l'extérieur de mon lycée, les mêmes hommes à qui j'ai raconté tous les détai
dit. Heureusement, la robe couvre mon dos et la laisse fouette. La belle rousse s'approche derrière moi, réajustant l'étiqu
r. Je regarde frénétiquement autour de moi, cherchant une bonne issue. "N'y pense même pas, ma chérie." Dit-elle en posant une p
autour de mon cou, une laisse attachée dessus. Je poussais al
elle me tire dans le couloir familier. Mes mains attrapent la laisse et essaient de tirer en arrière. « BR
e main sur le bas de mon dos, me poussant vers l'avant. J'arrache mon poignet de sa main alors que je
out en noir. Au bout du couloir pend des rideaux bordeaux. Un grand type en smoking se tient près des rideaux, tenant une liste quel
ns les yeux, voulant la saisir de mes mains tremblantes. Elle me fait un petit sourire alors que le type en smoking s'a
'ouvre la bouche. Mes mains tremblent sur les côtés de mon corps alors que l'homme me conduit à travers les ridea
un projecteur s'allume au-dessus de moi, un clic fort résonnant dans toute la pièce. Je plisse les yeux en les réajustant à la lumière.
te quand l'homme debout à côté de moi commence à parler, me faisant sursauter. Je baisse les yeux vers son visage de souris élancé, sa coupe de cheveux soignée le faisant paraître enco
vitre. C'est plus de 50 juste là. Le fait que les gens soutiennent ce genre de choses me rend malade. À quel point les gens peuvent-ils être horribles... ? « Héritage de France. Famille décédée » Mon visage s'a
ougé lorsque je lève les yeux. Les gens partent ? "Un chanteur exceptionnel. A remporté 3 concours de talent et sait jouer du piano et du violoncelle." Comment sais
èce, nommant plusieurs sommes d'argent. Ma mâchoire tombe alors que je regarde les personnages se déplacer
cent mille. Mon cœur est dans ma bouche, pourquoi quelqu'un voudrait-il dépe
Ma mâchoire tombe encore plus alors que j'essaie de
uvre et entre un grand homme aux cheveux noirs dans un costume noir ajusté, les mains posées dans les poches avant de son pantalon. "Monsieur Coveney. Quel plaisir de conclure enfin un accord avec vous
ent de mon visage, descendent sur mon corps, puis montent à nouveau sur mon visage. Un léger sourire se dessine sur sa bouche alors qu'il s
'acheter. Il lâche mon bras au milieu d'un couloir, me poussant plus loin dans la pièce. Je me retourne sur mes talons et le voilà debout. Ses yeux sont plissés
ta