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La traque finale

Chapitre 3 No.3

Nombre de mots : 1225    |    Mis à jour : 20/07/2022

cor

6 janvier

re. J’essuie d’un revers de la main le voile de buée qui s’est formé sur le pare-brise. À cette heure de la journée, les passants se font rares, de grosses gouttes crépitent sur la carrosserie de ma vieille Peugeot 203, invisible dans

ussif suit difficilement les deux feux rouges qui s’éloignent, désavant

Palace Hôtel », un établissement de luxe connu d’une certaine bourgeoisie marseillai

ée principale. La bâtisse surplombe la route face à la rade. En contrebas, l’écume bla

ano s’échappent d’un

un peu en retrait au

peau, je vais mettre mon projet à exécution, personne n’arrêtera mon désir, personne n’arrêtera cette soif de retrouver ma fille, je suis d

m’a présenté ces jeunes officiers, c’était, pour la p

ns à Luzarches, au nord de Paris. J’étais innocente, remplie d’illusions envers la nature humaine. Malgré les conflits, la guerre, l’occupation par les Allemands d’une partie de la France, je vivais dans ma bulle, protégée par ma m

pparaît la silhouette de la jeune femme. Surprise par l’humidité

ui s’arrête à sa hauteur, je descends lé

arseille si vous voule

nt de recul, puis en se penchant

merci j’att

i pré

viens de terminer mon service, je vais dans le

s qu’elle m’écha

ttraper mal, je vais vers l’h

tière… Elle a une hésitation puis pén

ant la main dans son sac de cuir noir qui reposait sur ses genoux. Dans son espri

cela ne me

éaction et rompant le silenc

mment votr

e et

impératrice ! me di

tion, une pute qui bat le pavé, qui fait quelques extr

e déjà vu… C’était moi comme dans un miroir, enfin c’était presque moi, avec en plus des cheveux soigneusement ordonnés

ée, si j’avais des enfants. Ell

démolitions dues à la guerre, des déblaiements sur les ba

nt du moteur. Je restais volontairement silencieuse, attentive à la

à la mode que l’on entendait à la radio, un

vait sentir que quelqu

es gouttes de sueur commençaient à perle

je l’encouragea

ez une be

ance et puis la vie ma conduite vers d’autres chemins… J’aurais tant a

sentiel c’est de vivre avec s

e temps de ter

er la bonne trajectoire dans l’enchaînement des virages. Il fallait absolument atteindre le tournan

dhérence, mais je devais prendre des risques, il fallait être cr

yées sur le tableau de bord, commença

s sa vie allait s’arrêter ? Elle se taisait, ce soir-là elle avait renc

ur la droite puis revient à gauche, les pneus crissent sur les gravillons du bas-côté de la route, la voiture roule quelques seco

le néant… Le phare et le petit port de l’archipel du Riou, les lumières du château d’If, éclair

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