Les caprices du destin II
le silence
ire que ta femme est un bon coup. Peux-tu mettre ta main à couper qu'
ère sans rien dire.
a t-il en reg
ntimes. Mais je suis ta mère. Ce que tu me diras ne
prit le visage
t ceci n'a pas d'importance pour moi
ire qu'elle l'a
non maman. Je
t elle qu
r. Quand à Amy, je n'ai pas aimé son comportement. Je ne suis pas son égal pour qu'elle m'insulte de la sorte. Si cet homme était bien pour elle je n
es-tu faire
e re
st-à-
ut le scandale. Toute la famille sera au courant dans quel
ma femme. Je n'accepterais pas qu'on vien
ar eut la vague impression qu'il y
ête m
a plus grosse erreur de ma vie c'est
r et tomba sur Amy dans le couloir. Il la dépassa sans lui accorder un rega
As
t ce que venait de lui dire sa mère et avait besoin de réfléchir à tout cela. Il referma donc len
...réveille-
trou. Elle ne voulait pas revenir à la surface
rit les yeux. Difficilement. Omar ét
e tu as pris A
oujours dans
rien pris, réussi
presque en lui montrant les méd
oyait bien pleurer sur son corps, regretter de lui avoir dit autant de méchanceté. Mais elle n'avait pas pu. L'image de sa mère
it-elle tristement en secouant la tête,
ulagement. Et la p
eu la peur de ma vie quand
lle sentait les battements frénétiques de son cœur. Oui i
sé. Mais je
ais-je sans toi Assy ? Quoi ? Tu penses vraim
issa la
ester ? demanda
ou ? demanda t-il e
e pensais que tu allais me...me...
n moment, avant de l'
de partir. Il y a eu un scandale. Des choses ont été dites. Mais elles n'engagent que ceux
rda, les lar
es
c tellement de tendresse qu'elle se demandant si elle avait mérité tout cela après tout le bazar qu'elle avait foutu dans la famille. Sans sa famille. Son instant de folie avec Iba lui coutait trop cher. E
, lui racontant des blagues débiles, faisant des grimaces, et elle la suivait dans son délire, lui assurant que tout allait bien. Devant la
ime mon
it. Sincè
je t'aime. R
ère, qui la regardait d'un air méprisant. Elle encaissa et la salua quand même. Bien entendu, elle ne répondit pas, mais elle ne monta p
. Hypocrite. Sous tes airs de saint
uits dans son frigo qui ne désemplissait jamais car Omar adorait acheter du n'importe quoi dans les supermarchés. Plus tard, son mari l'appela pour discuter. Elle ne lui dit rien à propos du comportement de sa mère, faisant celle qui allait bien. Mais au fond d'elle, elle tenait à peine. Elle était brisée, cassée. Elle avait mal au cœur, ce muscle qui était sensé la faire vivre, lui faisait mal. Très mal. Même si Omar faisait tout pour l'aider à passer ce qu
par la porte de derrière, lui appor
er. C'est ton mari qui m'a obligé à sortir te chercher à manger. Un
n était re
t que tu m'am
ffa de
'escalier de derrière? Elle est en rogne la
tant soigneusement d'aborder les sujets qui fâchent. Omar les trouva ainsi. Lui aussi avait pris l'escalier du dehors, comme s'il voulait ne pas se f
n'ai rien fait à par
? Alassane m'a dit que
n'avais
ppelé pour manger? d
hés
n'avais pas fai
pas rester seule. Surtout quand elle pensait que son sort était en train d'être joué. Elle avait peur de la suite, de l'avenir. Quand Omar revint, il scruta son visage à la recherche d'un changeme
ussi salaces envers son grand frère et lui avoir dit ce qu'elle lui avait dit. Quand le matin, elle le croisait elle détournait les yeux et celle-ci en rajoutait parfois en lui envoyant un « tcchhiippp » d'enfer. Mais elle ne répliquait pas. Elle n'y songeait même pas. Se demandant jusqu'à quand tout ceci pourrait durer. Elle en souffrait. Silencieusement, mais elle en souffrait. Le soir, avec son mari elle essayait de paraitre joyeuse, ne voulant pas lui créer d'autres problèmes, même s'il se doutait que les choses
mme il lui restait encore quelques jours de ses congés, elle se rendit che
aigri...lui dit Rama en la r
rig
gime. Omar me t
adorait quand tu
changé
famille de sa mère. Assy l'écoutait en souriant, contente de
nqué ma rama...dit-ell
leures ? Qu'est ce qui
s'assit sur le lit avant de se mettre à lui racont
lhadj c'est un salaud de la première. Et
ais-tu que
sais pas moi. que tu les tapes.
inuer sa phrase et se leva pour aller prendre l'
laisse pas faire. Tu n'es ni la première ni la dernière à qui ce genre de choses arrive. Ce qui est fait est déjà fait. On ne peut plus revenir en arrière. Assume Assy. vis ta vie
que les gens croient des choses
sse. Ton mari t'aime. C'est l'essentiel. Il te
ne cesse de me dire qu'il
ira de so
en fais pas.
e jour, le cœ
n'aimait pas la voir triste, même quand il lui faisait l'amour, il sentait cette pointe de tristesse dans son regard, dans ses gestes, dans ses soupirs. Elle le regardait comme si elle avait peur de le perdre. Il sentait tout cela et malgré tout ce qu'elle lui disait, elle avait
Rama ? demanda t-il c
fique Omar. C'est
remercier pour tout le b
ispa et ba
Ces temps ci je ne t'am
coua
oudent mon cœur. On est deux dans cette histoire. Tu n'es
ement émue qu'elle se mit à l'
iner...dit-il entre deux baisers et com
ent pour prendre leur bain et diner enfin. Assy avait décidé de se mettre sur ses genoux et attendre qu'il lui donne à manger entre éclats de rire et confis
ton père. Il veut tenir
s talons, mais
e l'au
nconnu semer la zizanie dans la famille. Il termina de diner rapidement, puis prenant Assy par la main, ils descendirent ensemble. Tout le monde était au salon et on attendait qu'eux. Il voyait
urné vers Amy et lui a passé un savon, lui demandant en fin de compte de présenter ses excuses à son frère. Elle ne d
C'est normal qu'elle réagisse comme cela. C'est Assy la source de tous ces problèmes. Dans
choses. Amy je t'ai demandé de t'excuser auprès de ton frère. Tu es bien ingrate ma fille. Tout ça pour un homme.
sanglot, mai
problèmes dans cette maison. Que
ait pour le bien de sa sœur, qui ne semble rien comprendre. Il obligea aussi Assy à présenter ses excuses et elle le fit, la voi
es fâchée contre moi, mais j'espère du fond du cœur que tu réussiras à dépasser tout cela. Tu e
t cette dernière en se levant, éne
re. Mais qu'est ce
lui disant que ça n'en valait pas la peine. Mais Badiène Oumy joua aussi sa partition
ici. Jamais rien de ce genre ne s'était passé. Omar
t et en se tenant la tête. Son mari é
et elle s'exécuta sans se fai
oignit dans la chambre, les traits tirés,
ement en se levant po
orça à
ns que je te crée des problèmes. Je suis tellement dé
s un mot, il lui caressa les lèvres, les joues
eux pa
ment la tête, les
ux pas vivre sans toi. Mais c'e
m'aim
ou
fais con
ou
ira bien. Moi aussi je ne peux pas
et son père a été obligé d'appeler leur voisin médecin pour qu'il lui injecte un calmant. Il l'avait laissé en train de dormir. Et ça l'avait atteint. Ensuite il a eut une longue discussion avec son père et lui avait affirmé qu'il était hors de question qu'il se sépare de sa femme, comme il semblait le lui suggérer. Finalement, c
iquer le problème. Et celle-ci était tombée malade. Assy mise au courant, avait rappliqué dare-dare et avait trouvée sa mère couchée. Elle venait de lui expliquer tou
ça s'est passé comme cela. Elhadj a menti tout simplement p
en passé entre vous ? d
'est passé quoi que ça soit entre lui et moi. Bilaye Walay. Il a menti. Mais le Bon Die
n désespoir sans fin. Elle voulait qu'elle lui parle, qu'elle lui dise ce qu'elle pens
Il avait tellement grandi et avait presque la même taille qu'elle. En plus il s'était assagi et ils discutèrent un peu. L
et cette dernière en avait profité pour lui dire tout son regret que son fils aie épousé Assy qui au bout du compte n'était qu'une petite dévergondée. Elle avait encaissé, au début, trop choquée pour répondre. Mais après s'être ressaisi, elle l'avait à nouveau appelé pour lui rappeler son passé. Eh oui. Avai
ils qui m'a appelé de bonne heure pour me dire qu'il avait trouvé Assy comme il
s'étai
. Mais il m'a dit que ce n'était pas le
on mari vienne me le confirmer. Que je sac
e. C'est comme cela qu'on sait si un
si rapide ? si ce que tu dis est vrai, Assy est-el
Elle entendait Oumy souffler à
as ce que tu dis...
n'en parle plus
venu semer la zizanie dans ma famille. Omar a frappé sa sœur, mon mari ne parle plu
a fille. Personne ne vous a forcé à l'épouser. C'est ton fils qui est venu me dire son