Les caprices du destin II
e préférait mettre cela sur le compte de la grossesse qui tardait à venir. Son mal avait empiré et elle ne pouvait l'exprimer, l'obligeant à s'aliter. Elle ne pouvait manger normalement et
uand elle a juré qu'il ne s'était rien passé entre eux. Oui, elle l'avait cru. Elle connaissait sa fille. Et elle était sincère. Maintenant, elle voulait savoir ce q
m'assure que ton mari t'aime et te soutie
a. L'écoutant lui chanter une belle chanson a
Mais je ne veux pas le séparer de sa famille. Mes cours vont commencer. Je ne les verrais plus
e s
en te dire pour ne
e s
irait la vérité. Mais était-elle capable de l'entendre. Ava
pourquoi Elhadj a renoncé au ma
la regarda. U
puis, je n'étais pas amoureuse de lui. Malheureusement. C'est uniquement pourquoi je ne vou
avoir. Et puis, rien ne pouvait changer le regard qu'elle avait sur sa fille. Mais si elle demandait, Assy risquait de penser qu'elle la
eux pour toi. Ça ne sert à rien de rester dans cette maison si tout le monde te d
e s
iéter pour cela. Je prie
in, elle ira voir Serigne Demba. Surtou
de ne plus s'en faire, de bien s'occuper de son mari qui après tout avait voulu la proté
emanda Omar qui était ve
épondit-elle avec
avait l'impression qu'ils étaient seuls et avait
ué mon cœur, d
le et déposa un léger baiser sur ses lè
ous re
e femme. Sinon, rien ne les
ent, elle répondit, lui demanda même des nouvelles de sa mère. De surprise, elle mit un peu de temps à répond
mais en fait, à chaque mouvement de tête, il enfouissait son visage entre ses seins et en profitait pour y déposer de légers baiser à tr
lé aujourd'hui, d
redressa
ce que tu lui as dit p
lata de
Peut être qu'elle ne
t une crise à chaque qu'elle
le
qu'on déménage. Dit-il plus sérieusement en se redr
ssez...lourde ici. Tu sais que mon homonyme m'a appelé pour me parler de cela. Mes tantes. Toute la famille
aissa
te demandent tous de te séparer de m
répond
èrent à ce point. J'aime ma mère et je t'aime. Elle dit qu'elle ne te su
sou
te séparer de ta famille, d'avoir semé la zi
entant de la regarder.
se...dit-elle fin
ais ne penses pas que tu me sépares de ma famille.
d appartement, tu pensais t'installer ici
sa les
possible nul n'est te
nlever un à un ses habits et les lui jete
raiment f
eta sur
ouva dans la cuisine, sortit dès qu'elle commença à parler. Awa fit l'effort de l'écouter avant de lui souhaiter bonne chance en haussant les épaules. Son beau père aussi, même s'il avait voulu réunifier sa famille, la tenait peu
te plait, ne fa
». Elle commençait par gémir quand elle voya
r te dire au revoir. Et d
i au r
urna le
on et te suivent comme un chiot, je le casserais. Bande de so
en se tapant
. Il va me
en à dire et sort
cupait. Au grand plaisir d'Omar qui appréciait les petits plats que lui mijotait sa femme malgré ses journées de cours parfois chargeait. Mais elle s'organisait. Omar la poussait à prendre une aide, mais elle rechignait à le faire, ne voulant pas perturber leur intimité. Sans compter les petits artifices qu'elle utilisait pour pimenter leur vie sexuelle. Sur ce côté, c'était toujours la grosse explosion. Elle ne se lassait jamais du corps de so
qu'elle voyait ses règles, elle en pleurait de dépit. Et n'osait pas parfois le dire à son mari. Il fallait toujours qu'il ait envie de faire l'amour pour qu'elle lui dise, les larmes aux yeux que ses règles étaient venues. Elle voyait bien la
er les idées. Et elle ne regretta pas. Ma soirée était b
ssy
sur Nafi. Elle se leva et
a fait lo
plus à la maison maintenant. Depuis q
le manque de temps. Comm
ussa le
u le sais, mais on a divorcé. Il a pris Sophie et ils
ur vous, articula t'
t elles restèrent longtemps à discuter
ttend que toi. Tu re
cette dernière aussi sentit son cœur
non. Un temps, elle a été la nounou de Sophie. Main
répondre avant de ti
aise le cœur battant, sans pouvoir e
ton dessert, il f