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Les caprices du destin II

Chapitre 4 Chapitre 04

Nombre de mots : 4452    |    Mis à jour : 25/06/2022

le silence

ire que ta femme est un bon coup. Peux-tu mettre ta main à couper qu’

ère sans rien dire.

a t-il en reg

ntimes. Mais je suis ta mère. Ce que tu me diras ne

prit le visage

t ceci n’a pas d’importance pour moi

ire qu’elle l’a

non maman. Je

t elle qu

r. Quand à Amy, je n’ai pas aimé son comportement. Je ne suis pas son égal pour qu’elle m’insulte de la sorte. Si cet homme était bien pour elle je n

es-tu faire

e re

st-à-

ut le scandale. Toute la famille sera au courant dans quel

ma femme. Je n’accepterais pas qu’on vien

ar eut la vague impression qu’il y

ête m

a plus grosse erreur de ma vie c’est

r et tomba sur Amy dans le couloir. Il la dépassa sans lui accorder un rega

As

t ce que venait de lui dire sa mère et avait besoin de réfléchir à tout cela. Il referma donc len

y…réveille-

trou. Elle ne voulait pas revenir à la surface

rit les yeux. Difficilement. Omar ét

e tu as pris A

oujours dans

ien pris, réussi

presque en lui montrant les méd

oyait bien pleurer sur son corps, regretter de lui avoir dit autant de méchanceté. Mais elle n’avait pas pu. L’image de sa mère

elle tristement en secouant la tête, le

ulagement. Et la p

ai eu la peur de ma vie q

lle sentait les battements frénétiques de son cœur. Oui i

sé. Mais je

ais-je sans toi Assy ? Quoi ? Tu penses vraim

issa la

ster ? demanda

ou ? demanda t-il e

Je pensais que tu allais me…me…de

n moment, avant de l’

de partir. Il y a eu un scandale. Des choses ont été dites. Mais elles n’engagent que ceux

rda, les lar

es

c tellement de tendresse qu’elle se demandant si elle avait mérité tout cela après tout le bazar qu’elle avait foutu dans la famille. Sans sa famille. Son instant de folie avec Iba lui coutait trop cher. E

, lui racontant des blagues débiles, faisant des grimaces, et elle la suivait dans son délire, lui assurant que tout allait bien. Devant la

aime mo

rit. Sin

je t’aime. R

ère, qui la regardait d’un air méprisant. Elle encaissa et la salua quand même. Bien entendu, elle ne répondit pas, mais elle ne monta p

. Hypocrite. Sous tes airs de saint

uits dans son frigo qui ne désemplissait jamais car Omar adorait acheter du n’importe quoi dans les supermarchés. Plus tard, son mari l’appela pour discuter. Elle ne lui dit rien à propos du comportement de sa mère, faisant celle qui allait bien. Mais au fond d’elle, elle tenait à peine. Elle était brisée, cassée. Elle avait mal au cœur, ce muscle qui était sensé la faire vivre, lui faisait mal. Très mal. Même si Omar faisait tout pour l’aider à passer ce qu

par la porte de derrière, lui appor

er. C’est ton mari qui m’a obligé à sortir te chercher à manger. Un

n était re

t que tu m’am

ffa de

’escalier de derrière? Elle est en rogne la

tant soigneusement d’aborder les sujets qui fâchent. Omar les trouva ainsi. Lui aussi avait pris l’escalier du dehors, comme s’il voulait ne pas se f

n’ai rien fait à par

? Alassane m’a dit que

n’avais

ppelé pour manger? d

hés

n’avais pas fai

pas rester seule. Surtout quand elle pensait que son sort était en train d’être joué. Elle avait peur de la suite, de l’avenir. Quand Omar revint, il scruta son visage à la recherche d’un changeme

ussi salaces envers son grand frère et lui avoir dit ce qu’elle lui avait dit. Quand le matin, elle le croisait elle détournait les yeux et celle-ci en rajoutait parfois en lui envoyant un « tcchhiippp » d’enfer. Mais elle ne répliquait pas. Elle n’y songeait même pas. Se demandant jusqu’à quand tout ceci pourrait durer. Elle en souffrait. Silencieusement, mais elle en souffrait. Le soir, avec son mari elle essayait de paraitre joyeuse, ne voulant pas lui créer d’autres problèmes, même s’il se doutait que les choses

mme il lui restait encore quelques jours de ses congés, elle se rendit che

maigri…lui dit Rama en la r

rig

gime. Omar me t

adorait quand tu

changé

famille de sa mère. Assy l’écoutait en souriant, contente de

anqué ma rama…dit-ell

eures ? Qu’est ce qui

s’assit sur le lit avant de se mettre à lui racont

lhadj c’est un salaud de la première. Et

ais-tu que

e sais pas moi. que tu les tape

inuer sa phrase et se leva pour aller prendre l’

laisse pas faire. Tu n’es ni la première ni la dernière à qui ce genre de choses arrive. Ce qui est fait est déjà fait. On ne peut plus revenir en arrière. Assume Assy. vis ta vie

r que les gens croient des chos

sse. Ton mari t’aime. C’est l’essentiel. Il te

ne cesse de me dire qu’il

ira de so

en fais pas.

e jour, le cœ

n’aimait pas la voir triste, même quand il lui faisait l’amour, il sentait cette pointe de tristesse dans son regard, dans ses gestes, dans ses soupirs. Elle le regardait comme si elle avait peur de le perdre. Il sentait tout cela et malgré tout ce qu’elle lui disait, elle avait

Rama ? demanda t-il c

fique Omar. C’est

remercier pour tout le b

ispa et ba

Ces temps ci je ne t’am

coua

oudent mon cœur. On est deux dans cette histoire. Tu n’es

ement émue qu’elle se mit à l’

diner…dit-il entre deux baisers et com

ent pour prendre leur bain et diner enfin. Assy avait décidé de se mettre sur ses genoux et attendre qu’il lui donne à manger entre éclats de rire et confis

ton père. Il veut tenir

s talons, mais

e l’au

nconnu semer la zizanie dans la famille. Il termina de diner rapidement, puis prenant Assy par la main, ils descendirent ensemble. Tout le monde était au salon et on attendait qu’eux. Il voyait

urné vers Amy et lui a passé un savon, lui demandant en fin de compte de présenter ses excuses à son frère. Elle ne d

. C’est normal qu’elle réagisse comme cela. C’est Assy la source de tous ces problèmes. Da

choses. Amy je t’ai demandé de t’excuser auprès de ton frère. Tu es bien ingrate ma fille. Tout ça pour un homme.

sanglot, mai

problèmes dans cette maison. Que

ait pour le bien de sa sœur, qui ne semble rien comprendre. Il obligea aussi Assy à présenter ses excuses et elle le fit, la voi

es fâchée contre moi, mais j’espère du fond du cœur que tu réussiras à dépasser tout cela. Tu e

it cette dernière en se levant, é

re. Mais qu’est ce

lui disant que ça n’en valait pas la peine. Mais Badiène Oumy joua aussi sa partition

i. Jamais rien de ce genre ne s’était passé. Omar t

t et en se tenant la tête. Son mari é

et elle s’exécuta sans se fai

oignit dans la chambre, les traits tirés,

ement en se levant po

orça à

ens que je te crée des problèmes. Je suis tellement

s un mot, il lui caressa les lèvres, les joues

eux pa

ment la tête, les

ux pas vivre sans toi. Mais c’e

m’aim

ou

fais con

ou

ira bien. Moi aussi je ne peux pas

et son père a été obligé d’appeler leur voisin médecin pour qu’il lui injecte un calmant. Il l’avait laissé en train de dormir. Et ça l’avait atteint. Ensuite il a eut une longue discussion avec son père et lui avait affirmé qu’il était hors de question qu’il se sépare de sa femme, comme il semblait le lui suggérer. Finalement, c

iquer le problème. Et celle-ci était tombée malade. Assy mise au courant, avait rappliqué dare-dare et avait trouvée sa mère couchée. Elle venait de lui expliquer tou

ça s’est passé comme cela. Elhadj a menti tout simplement p

en passé entre vous ? d

’est passé quoi que ça soit entre lui et moi. Bilaye Walay. Il a menti. Mais le Bon Die

un désespoir sans fin. Elle voulait qu’elle lui parle, qu’elle lui dise ce qu’elle pe

Il avait tellement grandi et avait presque la même taille qu’elle. En plus il s’était assagi et ils discutèrent un peu. L

et cette dernière en avait profité pour lui dire tout son regret que son fils aie épousé Assy qui au bout du compte n’était qu’une petite dévergondée. Elle avait encaissé, au début, trop choquée pour répondre. Mais après s’être ressaisi, elle l’avait à nouveau appelé pour lui rappeler son passé. Eh oui. Avai

ils qui m’a appelé de bonne heure pour me dire qu’il avait trouvé Assy comme il

s’étai

. Mais il m’a dit que ce n’était pas le

on mari vienne me le confirmer. Que je sac

e. C’est comme cela qu’on sait si un

i rapide ? si ce que tu dis est vrai, Assy est-el

Elle entendait Oumy souffler à

pas ce que tu dis…

n’en parle plus

venu semer la zizanie dans ma famille. Omar a frappé sa sœur, mon mari ne parle plu

a fille. Personne ne vous a forcé à l’épouser. C’est ton fils qui est venu me dire son

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