Hadès
on se
semble sceptique et me regarde d'un œil mauvais mais vue not
era plus qu'à dir
rence au dieu des mort
Ta gu
yeux au ciel alors que
illimètre près. Un seul petit centimètre pourrait tout faire échouer, allant jusqu'à signer notre arrêt de mort. Plus personne n'ose bouger dans la S
a
nte
rétroviseur, la silhouette de leur véhicule apparaît, provoquant une poussée d'adrénaline dans mes veines. Lorsqu'ils sont à la parfaite distance, il accélère d'un coup. Mon corps est propulsé contre mon siège. Mon cœur tambourine dans ma poitrine. Si tout échoue, si nous mourrons, ce sera ma faute. Les détails de mon plan se répètent dans mon crâne tel un écho. Ce n'est
nt cons,
tant un rire sadique
ouve sous nos pieds. Malheureusement pour les flics, ils ne ralentissent pas à temps et traversent la barrière, se dirigeant droit dans le vide. Après de longues secondes, un énorme boom se fait t'enten
réu
er là, ils ont sûreme
révien
en trombe s
je le voulais. Je me suis débarr
r bat toujours à tout rompre. Me
chérie, tu
tiner ce surnom débile pen
que vous étiez si i
prenant un
e l'es
risson presque imperceptible. Mais le stresse a apparemment su dompter son a
ai petit génie ! On devrai
, excédé. Quant à moi, je me content
ygène semble de nouveau y entrer. Nous ne sommes pas l'abri de nous faire embusquer par les renforts de la police mais po
-toi là, j'ai
ôté de la route, près
ntenant o
x y alle
dem
No
t Hadès, sans même
i, princesse, mais je n'ai pas trop
jourd'hui, je n'ai pas envie de la rechercher dans tout le
t exaspérée. Je finis par ouvrir la
où est ce que j'irai, je ne sais
s'il cherchait la moindre trace qui
re. Mais Kaï, tu gardes un œil sur elle, c'est c
facile que
une enfant qu'un père a peur de perdre de vue. Je tente de riposter à plusieurs reprises mais sa poigne de fer me prouve
e très peu
ile pour moi de l'atteindre sans monter sur quelque chose. Je grimpe sur l'un des lavabos en retenant mon souffle. Celui-ci tremble pendant que
Je t'en supplie,
e m'écroule pas à terre. Mes mains restent agrippées au métal froid. Le tuyau supporte la masse de mon corps, d
er de l'autre côté. Je n'ai pas de montre mais je suis persuadée que les secondes s'écoulent à la vitesse de la lumière. Les deux premières minutes viennent sûrement de s'écouler, si je continue de réfléchir, Kaï risque de rentrer dans ces toilettes à un instant ou à un autre. Je puise dans
réu
me paraît plus grande que je ne l'aurais cru. Il y a environ deux voir trois mètres entre moi et le sol. Mais je
ini ? Hadès va nous étriper si o
le sol, une douleur vivent me traverse les jambes et je m'étale par terre. C'est comme si une décharge venait de faire vibrer mes membres inférieurs. Je pousse un
foncer la porte
el de
ment un cri de rage mais plutôt de peur. Peur de la Bête. Un second bam se
je coure.
idés uniquement par ma détermination à fuir mais surtou
du compte que j
bablement à
ache-cache vie