Hadès
es pas sont uniquement guidés par la volonté de fuir la Bête. Le plus loin possible. La réussite
x pas que
e le fuir pour de bon
nt en
is à
attraper à n'imp
ses semblent avoir pris feu. Rester assise sur cette maudite chaise m'a accablé plus que je ne le pensais. Mes yeux sont aveuglés par des larmes de nerf. Tout ce que
gée dans de hautes herbes qui me dissimulent en grande partie. Il est pratiquement impossible de me voir du premier coup œil. Cependant, de nombreuses branches m
lmer ma respir
sp
pi
chaud. Je sens mon t-shirt ne faire plus qu'un avec ma peau. C'est une sensation désagréable
its cailloux, sont douloureuses, probablement égratignées. Je reste ainsi pendant de longues secondes, comme assommée par cette chute. Mais je ne peux pas rester là. Puisant dans mes dernières forces, je me remet douce
sière et quelques oiseaux qui chantent, il n'y a au
silen
u qui crissent. Celui d'une voiture qui fend l'air à toute vite
nalement a
oss
sont sûrement en train de se bousculer les unes après les autres dans son esprit de psychopathe. Je peux d'ores et déjà dire ad
o
it de cour
e et
m'arr
uste teni
e un
hes encombrent mon champ de vision. Sous la puissance de l'astre de feu, j'ai la sens
je risque de m'évanouir. Toute l'eau que contient mon corps est en train de s'évapore
it. Je ressens un cocktail d'émotion, plus indescriptible, les uns que les a
ma c
aide. De ne pas me laisser seule ici. Le visage baigné de larme, je me précipite dans sa direction. Je le vois se diriger vers moi en ralentissant. Un sentiment de soulagement se répand dans tout mon corps. Sans parler, il me fait un signe de sa tête
Me
sachant pas si je le re
ondre, i
fin de mo
☆
nais de me réveiller d'un cauchemar et que je me rendais compte que c'était terminé. Je ne sais pas où est-ce que je vais aller et comment mais le simple fait d'avoir r
ment heureuse que ce soit terminé. Enfin. Au bout de plusieurs longues inspirations, mes battements de cœur repr
se autour de nous sans même avoir besoin de le voir. Ne portant pas de casque, tout accident risque d'êtr
tousser. Je suffoque durant plusieurs secondes. Puis, comme si ce véhicule venait de me ramener
t-ils
ujours à ma
nalement a
entre elle se dém
c'est s
endre un piège. Que finalement tout ceci n'est qu'un mirage au milieu du désert. Qu'à tout moment, il peut disparaitre.
ais quelques parts p
ser ses pensées qui ne font que me tour
uis
on père et ma mère. Reprendre le cou
r ma vie
ir que je pourrais balayer d'un revers de la
in à la main. Me balader dans ma ville. Mon cœur se gonfle du peu de joie qu'il me re
scends en gardant les yeux fermés en ayant
is ra
l'immense jardin que j'ai traversé plus tôt ce matin. Je tourne lentement la tête vers le motard, en sachant déjà pe
à la maiso