Hadès
Des lumières multicolores dansent devant mes yeux. Une forte
ongues ombres méconnaissables. La pièce tournoi
tête foudroyant. Un air de classique plane dans l'habitacle. De l'air frais filtre par les vitres semi-ouverte. Je suis à la fois en feu et complèt
tement
s,
tr
scur
Mon pouls s'accélère considérablement . Je peine à respirer. La pièce dans laquelle je me trouve est occupée uniquement par la chaise sur laquelle je suis assise. Les murs sont étrangement propres et contrastent avec l'horreur de la situation comme si elles n'étaient elles-mêmes pas prêtes à accueillir ce qui s'apprête. Comment suis-je arrivée là ? Diverses questions me traversent l'esprit, toute restant sans réponse. De faibles réminiscences me frappent mais drapées d'un voile opaque qui m'empêche d'y voir plus clair. Je dois
e sert
s'étend sur ses lèvres alors qu'il contemple l'air effaré sur mon vi
fraie, pe
e blanc, l'un après l'autre, provoquant un son divinement horrible. Il me surplombe de toute sa hauteur. Sans que je ne m'y attend, il m'attrape par les cheveux et me b
rsque je te parle
Ou
trop fatiguée et faible pour autre c
pprends vite
gne enfin. J'expire. Je ne m'étais même pas rendu compte que je rete
je suis, ce que tu fais là, en
de manière pres
se. Tu le sauras en temps et en heure. En atten
dans mes veines. Son "joujou", qu'entend-il par là ? Je p
ommes-
es accoudoirs de la chaise. Son souffle chaud
n e