FEMME DE MA VIE
vais souiller mon corps pour mon pain, je n'en avais pas le cœur. J'étais une mère, ce genre de mère qui
le pour qu'elle baisse la garde afin que je puisse continuer ma route avec mon garçon. C'est pour
oir un autre dans une demi-heure, on va se dire à ce so
i l'insulter, d'autres femmes vivant ma situation auraient terminé dans un tel labyrinthe. Ma pensée était différente, pour moi si
Ibrahim et moi allons
ivre la vie d'un enfant normal ? Plutôt que de rester là à ne
me laissant dans ce doute. Mon fils et moi avions retourné nos affaires dans la chambre. Il ne pouvait manquer de
quelque chose de méchant ? Si c'es
ut juste que je lui rende to
mais on a
ais, on do
J'avais encore beaucoup à faire dan
a et on lui rendra tout,
rai plus les gens te traiter c
es mignon
illes, mon tout ; Je l'aimais plus que ma propre vie. Son éducation n'était
y'aurai certainement une personne pour nous surveiller depuis l'extérieur. Dans cette maison il y'avait un portier qui sillonnait à lo
t donc commencé à faire sortir nos affaires. Il ne voula
les sacs. On va juste prendre notre p
ans notre marchandise
urtant si on s'en va bras ballant, on n'aura pas d'ennuis même si
maman, je veux être comme
nfer naissant avant qu'il ne soit trop tard. On prit le peu d'argent qu'on avait encore en poche et on sortit de la
z-vous c
marche. Il dit être fatigué de rest
ite faire. Madame va
'on règle une affaire. Nous allons arriver jusqu'à u
ai aucu
à courir pour nous éloigner le plus possible. On n'avait même pas emporté une bouteille d'eau. Je sentais déjà ma gorge sécher. Nous avions marché pendant des heures sans nous arrêter, sans avoi
br
avaient toute une petite assiette qu'elles faisaient balancer de haut en bas. Mendier était
ux les rejo
s d'abord che
s'imposait déjà, il fallait trouver un endroit où dormir. Nous n'avions pas de nappe, pas de couverture, nous n'avions rien. Nous avio
ouvert, elle pleurait abondement. Mon cœur se mis à saigner, pourquoi pleurait-elle ? Je ne savais quoi dire en ce moment alors je fermai les oreill
re en main. Maman avait préféré se faire une place auprès de ces femmes qui demandaient de l'argent aux âmes de bonnes volo
onnait un seul centime depuis le matin. Les autres avaient pourtant les assiettes presque pleines. Très fatigué, elle posa son assiette et se coucha sur place. Je
as fait ç
maman... J'ai juste
je ressentais ce genre de froid, elle posait la main sur mon front pour p
as le p
e un petit truc. Ç
ton remède. Il y'a certaines femme e
our me rendre chez ces femmes. En plus de cet argent, j'y avais ajouté notre pa
le palu. Je veux
ardé. Elles semblai
s com
ce que j'av
1000
etit, va
st tout c
près de ma mère qui était de plus en plus souffrante. Chaque jour qui passait, son état était de plus en plus dégradant. Je suppliais encore et encore ceux qui passaient d'avoir pitié de nous. Ce que
volonté me lançait une pièce dan
rs. C'est comme ça qu'ils font pour escr
famation, maman eu un peu de for
fils n'est p
mme r
ade mais la voilà bien debout.
rre en plein visage. Un vague de sang ruisselait, j'entendais les cris de ma mère. On m'avait arraché
uoi manger pour prendre ses médicaments, elle n'en savait rien. Malgré son état, elle avait coupé une herbe qu'elle avait pris
ment ? Une nouvelle fois la nuit était tombée. Cette fois nous n'avions rien à nous mettre sous la dent. Même pas des feuilles d'herbes mortes. Toujours grelo
Nous étions destinés à souffrir et à mourir de faim. Pourquoi tant de cruauté envers nous ? Je ne pouvais pas me retenir
roit nous empêchaient de fermer l'œil, j'avais néanmoins fini par me laisser emporter à un moment.
'est quoi
j'ai soif, je ne peux p
. Ne sachant quoi faire à une heure pa
héri, tu vas voir qu
nous a abandonné. Il ne nous aim
france énorme maman
la foi Ibrahim, ne p
uiv