FEMME DE MA VIE
es excuses. Je n'y com
Je ne vais plus jamais recommen
ye même pas, lança le mo
qu'elle était belle, je venais de perdre un boulot pour lequel j'avais souscrit depuis des mois. J'étais passé tout près de cette femme pour m'en aller.
marchais comme un malheureux mais j'avais un sourire qui allait et venait. En me voy
Le travail ne devait pas finir le
-ce que j
maintenant ? Je t'attenda
aconte ! J'ai re
rlé de quelques filles mais en camaraderie. Elle
bien ? C'est la fille la qui te fa
semble être la fille du patron. On m'a chassé
isais quoi comme ça ? Tu che
emme est la beauté incarnée. Il fallait l
a démarche. Maman emballait s
is commencer à oublier cette fille. Je ne pense
ner la farine du soir. Carl
de ton faux ami. Il me donne
un gâteau pour ma belle inconnue bien que ne sachant comment j'allais le lui remettre. Maman s'était endormi car étant très fa
ue se remplir le ventre. Maman m'avait essoufflé avec le travail. Tantôt monte, tantôt descend. Entre faire la vaisselle et servir une dizaine de client à la fois, je vis
joindre maman, i
u'aux arbres de l'autre côt
: qu
minutes parce qu'elle n'
ent que je sautillais par moment sur la route. À mon arrivé, il n'y avait personne. Je ressentais une grande déception. J'avais poiroté à cet endroit pendant plus de cinq minutes sans jamais la voir. J'étais sur le point d
r... Sal
ut à l'heure. Je ne voulais pas que t
ire. J'espère juste qu'ils vont me reprendre d
ne s
ouer que votre p
le visage, elle se
range beaucoup mais
J'étais resté calme et troublé en même temps. Je voulais la revoir pour c
ad
res, il me vidait toujours un sac de blague à m'en tuer de rire. Avec lui je ne ressentais jamais aucune tristesse, c'était le genre d'homme que
-tu vu I
rche avec Ibrahim ? C'est
allé vers les bois mais depuis je ne l'
une commission po
Il part même
a bientôt trente ans et tu attends encore
! Il reste tout de même mon peti
Je veux juste un petit bol de bouilli pour faire descendre mes beign
our l'enfant ! J'ai déjà fait les
ans payer ? Je suis venu avec ma moto p
e à collectionner les assiettes,
s : a
es bois, suivant la direction que je l'avais vu prendre. Il avait la nuque collée à un tronc d'arbre. Il souriait en regardant le ciel. Que lui avait
je t'ai dé
is so
enant ici que tu
période où on vendait les feuill
ue tu dois rentrer à la maiso
seulement ? Si elle est encore ici
que tu es venu voir ?
envoyé. Je ne pense pas pouvoir lui reparler un jour mais je
femme va t'apporter beaucoup d'ennuis. Je ne voud
re qui est le patron, voit que je suis un bon garçon,
alheur, je vais certainement mourir
maman ; tu n'as pas à t'en fai
s ! Carlos fait la vaisselle t
été l'une des plus belles de toute ma vie. Maman et moi étions serrés derrière la moto. Un froid mordant nous tra
me, j'avais l'impression d'être en sur-chaleur. Pour la première fois j'étais sorti de la douche après plus d'une heu
me regardez
mon petit, je ne veux pas qu'on te ramasse e
ours en compagnie du patron et que c'est sure
rd dit que j'allais la chercher
s que j'ai jus
pas sonner parce que je suis fou d'une bou
idioties tout à l'heure. Que tu ne sai
le, calme, douce... Le souci c'est qu'elle n'a pas vrai
. Pourtant nous autres qui avons franchement souffert et qui mangeons à la sueur de notre font sourions toujou
prendre comment ce monde a
entrale. Je devais me mettre à mon aise avant de sortir alors je ne me retournai pas. Il n'y avait aucune disc
chambre était de taille. Je prenais mon
me. Il me regardait avec un air de chien battu. Je l'aurai tué si maman n'était pas venu se tenir devant
ans notre maison maman ? Qui
on chéri, ne fait r
l'assommer sans me retenir mais je const
ent désolé pour tout ce que j'ai pu vous fai
cun remord parce que tu n'es rien pour moi. Tellement facile de détruire l
uiv