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FEMME DE MA VIE

Chapitre 6 Chapitre 6

Nombre de mots : 2220    |    Mis à jour : 12/02/2022

oite. Je ne voyais rien aux alentours. A un moment je levai les yeux vers le ciel, nous étions enfin bénis. Ces feuilles d’arbre, je les reconnaissais. Ma mèr

’essayai de sauter mais rien. Un bâton non loin de moi arrangea la situation. Je me mis à donner des

m, réveil-to

bondit d’

nourriture

t entassé devant lui.

n va manger

herbes comme tu penses.

feuille qu’on nous aurait pris pour des fous, pour ceux qui ne connaissaient pas les vertus de ces feuilles. Nous avions repris

fut le début du changement de nos vies. Il était venu se placé

sais ce qu’on

je t

pour avoir de l’argent. C’est sûr qu

hamps. Les propriétaires vont certainement arriver d

olution. On va vendre. Je vais couper d’autres feuilles e

spérons q

fait pas maman, Al

sse corrompre par les tentations du diable qui chaque jour nous pour

notre marchandise donnée par mère nature avec des cordes de bananiers. Je ne pouvais pas laisser

éting de sa marchandise. Je le suivais juste. On ne mit pas deux secondes que les curieux commencèrent à venir vers nous. Tous voulaient savoir à quoi servaient

sque j’entendis une ‘’je ve

ordables mais plus satisfaisant. J’en mangeais pour les mettre dans la confiance. Les ventes s’étaient grandement ouvertes. Ava

J’ai cherché ces feuilles pendant de

court m’avait impressionné, on dirait qu’on avait la même mère. La marchandise totalement vendue, nous avions pris d’autres commandes pour les satisfaire dans la

parti à qu

avec des clients. On ne doi

formidable

citoyens, je voyais de loin la tête de deux agents communaux qui sillonnaient dans les parages. Ils n’allaient pas tarder à venir jusqu’à nous. Il fallai

oit de venir vendre ici

demander les modalités à suivre mais vous n’étiez nu

n d’ici, vous auriez pu aller

ur arriver à ce marché. Je comptai sur de braves hommes comme vous

ire n’avoisinait même pas vingt mille franc ? Ils m’avaient pris pour une illettrée jusqu’à ce que je commence

lement, ils s’étaient mis en colère en me prometta

et on en reparle demain matin. Vous faites quoi comme si on n’était pas u

avais beau vouloir vivre dans la droiture, il arrivait un moment où je devais

sur notre arbre, avec cette fois de quoi manger et bo

br

nous comme sur les autres. Mais ce brusque changement m’avait fait comprendre que n

louer une petite chambre près de notre arbre. Pour une fois j’avais de nouveaux vêtements, des chaussures neuves, un beau tapis s

e de course à faire. Elle ne voulai

rquoi ? Est-ce que tu me c

tite surprise que je peux rien te di

x au moins s

Comprends que je ne vais rien te

maison. Je l’avais tellement attendu que je m’étais endormi. Au bout de quelques minutes de

nt par terre, comment n

s retrouvés comment ? Tu nous veux

vous engagez une belle vie ? On va sauf que rester ensemble et to

nds ? Je dis bien jamais

es seconde ? Je vais te montrer le feu. Tu

s. Je cherchais encore un moyen de le mettre dehors lorsque j’entendis à nouveau frapper à la porte. Cette foi

avec son gros bras qui était son portier. Je m’étais mis à trembler dans tous les sens. Elle avait l’aire furieuse.

llé et j’en passe. Vous avez préféré fuir comme des voleurs sans même pr

avons fait ? Tu voulais qu’on ai

un arbre qui ne vous a

ste un arbre c

mes très en colère. Ils me regardaient farouchement. Papa avait déjà déroulé

feuilles de mon arbre sans jamais chercher à s

c’était l’arbre de quelqu’un.

On va d’abord te fouetter jusqu’à tu vas oub

donné le premier coup devant tous ces inconnus. Je m’étais roulé par terre comme un ver de terre, hurlant à la doule

ir et reçu un coup qui m’était destiné. Elle regardait tous ces gen

aigrichon de ton état. Tu ne sais même pas comment t

rna vers notre

nger mon Ibrahim ? Tu crois que je pouvais accepter ce genre de

Elle ne les gérait pas. Elle avait récupéré le fouet et les avait tous aligné à plat ventre.

avaient mis dehors par force. Je n’y comprenais plus rien. Ils trainaient maman par les cheveux, elle criait car ne me voyant pas. Je m’étais mis à pleur

le-toi. Ibrahim c’est juste un

Il n’y avait personne autour de nous. Je n’avais reçu aucun coup de fouet

qu’ils étaient

ri, louons le ciel

derrière elle. Un sac

uiv

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