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La véritable histoire d'Adam et Ève, et autres nouvelles inconvenantes

Chapitre 2 No.2

Nombre de mots : 1209    |    Mis à jour : 28/01/2022

inat

le à la ch

Pierre

éjeuné ensemble, nous nous promenions dans les rues tortueuses de Pézenas, bordées de beaux hôtels particuliers, de quelques belles boutiques et, malheureusement aussi, d’horribles écho

es, pour les hommes, depuis la nuit des temps, les vicissitudes de la vie, la bon

e goût et de culture pour ne pas commettre de trop graves erreurs de jugement dans ce domaine. Nous parlâmes donc enfin peinture e

e au plafond très haut ; je retournais l’une, mettais l’autre de côté, passais rapidement sur deux ou trois, ne sachant ni ce que je cherchais ni même si je cherchais quelque chose. Une bière fraîche vint constituer un entracte

d’imagination ou t

’aime mieux pour le naturel des mouvements, la

dans la

’intérêt qu’il portait à ma découverte,

étai

c’est d’ailleurs inscrit au dos de la toile. Alors, depuis

is le tableau de côté, parmi d’autres, puis changeai de sujet. À la fin de la journée, je retournai dans l’atelier, repris dans ma sélection deux pièces dont le rectangulaire, celui qui représente une jeune

x vraime

laît et m’intr

parâmes ; j’emportais mes deux acquisitions. Je n’avais tiré de

n mur un mois ou deux, j’en analy

tout cela était bien observé et bien traduit, ce qui n’est guère étonnant de la part d’un artiste confirmé comme Loeffler. Mais ce qui m’intriguait le plus était le visage de

it cett

el, attitude et mouvement quotidiens d’une jeune femme qui se dévêt. Mais l’énigme réside tout entière dans la partie du visage encore visible, qui, ne représentant qu’une toute petite partie de la toile, concentre tout l’intérêt. L’œil gauche,

dérobée en se déshabillant, qui évalue ses charmes juvéniles dont aucun homme n’a encore profité ; elle se trouve belle, et bien hardie de cette revue coqu

ue de son lent effeuillage, lui cachant l’essentiel d’elle-même, femme déjà rouée qui sait que le désir croît de la dissimulation e

oitié ôtée alors qu’elle ne dévoile pas encore sa poitrine, pressée d’en finir avant d’avoir commencé, press

n de la femme qui s’amuse de l’homme qu’elle connaît

st bien ainsi. Alors, je change mes questions en plaisirs ; souvent, le soir, mon imagination s’enflamme et la belle dénudée est, selon mon humeur, la frêle jeune fille plus totalement innocente qui s’examine dans son miroir, se trouve bien émouvante et se donnera tout à l’heure de solitaires satisfactions, puis, un autre soir, ell

cieux parfum env

ous à vouloir

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