Vivre avec un écrivain
rices déroutants, aux supplices solitaires pour le pauvre être que je
passable
able
n « tu ne pourrais pas comprendre... », je ne supporte plus qu'elle m'esquinte à force de feintes, de répliques toutes faites qui n'on
révo
c'est une page de trop, je ne me contiens plus, je veux l'inquiéter, la découvrir – chose q
é pour d
x la f
a coucher sans papier, avec flagrant désir de l'effeuiller. Ridicule introduction face aux chapitres qui défilent sous ses doigts, à
i je
et sublimes » qui la submergent avec moi ou
cette unicité qui s'empare de sa personnalité tout enti
tre adverbe, celui, par exemple et angoisse, que la langue française d
éclaircie sur l'obscurité qu'engendre le doute, celui
ur mes heur
ne l'avais jamais fait auparavant ou par derrièr
évade depuis quelques jours, un silence inquiétant pour mes questions s
vi
j'ai total