Cavaliers et sortilèges en Cotentin
Vraiment pour faire autrement que tout le monde », s'agaça le policier intérieurement. L
e soit vrai ? Est-il po
e Langlois lui raconta ce qu'il s'était passé en insistant sur l'aspect macabr
i ? Vous pensez qu'
La mise en scène était parfaite. Nous réfléchis
dépressive ? Depuis quelque temps, elle était fatiguée, même si elle ne voulait p
'autres pistes, notamment celle de ce qu'il faut bien nommer meurtre. Cette salive au bord des lèvres et pire encore, cette mèche de cheveux arrachée, qui po
t de même pas ! s'of
nse rien,
e grand écuyer Roland de Navarre. Nous avons travaillé ensemble car nous préparions un spectacle de Haute École. Je ne peux que vous recomman
laration de Matthieu u
chevaux dans la police d'aujourd'hui, mais soyez convaincu que nous restons animés par
choisit Jules pour e
dire à Matthieu que Philippe Langlois, qui a beaucoup vécu aux États-Unis et au Canada, a une ouverture exceptionnelle sur d'autres civilisations et une passion pour la vieille Europe équestre ! Vos deux personnalités sont peut-ê
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it souligné le guide. Les promeneurs avaient apprécié le périple dans les sous-bois parsemés de roches et rochers incroyables. Impressionné par les petits ou gigantesques monuments druidiques de Rocheville, certains culminant à plusieurs mètres de hauteur, le groupe, au fil de l'excursion, s'était laissé tout doucement emmener sur les traces légendaires des ermites qui ont pu s'y retirer dans le passé, cherchant dans ce magnifique décor une force spirituelle. « On ne peut se promener ici sans immédiatement se sentir imprégné d'une atmosphère toute particulière » avait précisé une des participantes tandis que sa voisine ajoutait : « On dirait vraiment un menhir fendu en deux. Cette grosse pierre est incroyable ! Sommes-nous dans une cathédrale préhistorique ? Ou au cœur d'une cité des temps anciens ? Rochers naturels ? Certainement pas tous. » On avait quitté le bois des Roches avec plus de questions que de réponses « Mais c'est peut-être cela, la magie du lieu. Permettre à chacun d'inventer sa propre légende » s'était dit Jules, qui avait un peu oublié Élis
n rouge se faisant croquer vivante par le méchant loup, Blanche-Neige empoisonnée par sa vilaine belle-mère, le petit Poucet et sa famille menacés par l'ogre gigantesque ou encore Peau d'âne, réduite à se cacher sous une horrible peau de bête pour échapper aux avances amoureuses de son propre père : décidément, les thèmes ayant bercé les rêves et les frayeurs de tous le