Cavaliers et sortilèges en Cotentin
e en la personne d'Eugénie Dieuleveut, jeune brigadier, et surtout amie d'école et d'enfance. Étant originaires de la DASS, à une époque, les deux
avoir ce qui arrive. On v
is q
e... Eugénie ne put
e et sa singularité. D'autant que suivait généralement l'amusant « Popette » de César.
se des Lisières, la p
e poétique. Y a-t-il un lien avec sa mort ? Aucune idée. Toujours, il semblerait qu'elle ait reçu un cou
s doute, s'inquié
'imagine pas trop mettre fin à ses jours. Vien
Oui, son perroquet avait une approche très particulière des situations. Étrangement, il avait l'art et la manière de détecter le petit détail qui cloche et qui, souvent, avait mis Jules sur la b
e croirait dans un mauvais rêve », se dit Jules, frappé de plein fouet par la violence de la mise en scène. Oui, il pensa immédiatement « mise en scène » comme s'il s'agissait d'un film où tout était prévu pour produire un effet : le décor du salon bureau, les rouges et ors des tentures baroques faisant ressortir le blond magnifique des cheveux de la jeune femme se détachant sur le noir de la machine à écrire et le texte lisible sur l'ordinateur. Jules prit le texte sorti de l'imprimante et se mit à le lire à haute voix : « Le temps..
a lecture devant les gendarmes et le médecin légiste, le docteur Poignet, qui venait d'arriver et allait co
er, de l'oublier, de temps en temps, pour retrouver l'insouciance de notre enfance et ne pas perdre, à tout jamais, l'espérance. Rien à faire : imperturbable, sans j
le perroquet. « Amo
ntes désormais écoutaient Jules, dont le talent inné d'acteur
urquoi pas, de le tuer, cet assassin de
sar avec gravité alors que
, j'ai eu envie de mourir, fatiguée de le provoquer, lasse de le sentir, lui, touj
ponse, eh bien, j'ai décidé de l'ignorer et de lui faire un pied
olie" », scanda Cé
nfini», termina Jules dont la voix
ire, il évoque plutôt une personnalité dépressive, n'est-ce pas ? dit le chef de brigade Philippe Langlois, qui aimait bien Jules mais avait toujours vu son arrivée com