Mon dernier souhait : La trahison du fiancé
vue de Ja
t postée sur le forum en ligne de l'université, la revendiquant comme la sienne. Elle ava
i, une étincelle de talent que ma famille avait sans relâche tenté d'éteindre. Il avait soutenu mes projets, loué ma vision unique, et m'avait même offert une place convoi
r les détails complexes du design, les cadres théoriques. Camille, comme on pouvait s'y attendre, a bafouillé. Elle ne pou
dé le forum. « Ça ne ressemble pas du tout au travail de Camille. » « Elle ne peut même pas
ndie de fureur numérique. L'intég
ersant mes membres affaiblis, mais il l'a ignoré. Il était aveuglé par sa rage, par son besoin fervent de protéger Camille. Il
é en pointant Camille. « Tu as tout
une seule question angoissante a résonné da
acial. Axel, alors un jeune homme d'affaires prometteur, avait été là, un phare dans mes ténèbres. Il avait enroulé sa veste autour de moi, ses yeux remplis d'une tendresse que je n'avais jamais connue. Il m'avait ra
r, de ne plus jamais laisse
uré, ses mots un baume pour mon âme
traitait, détesté leur favoritisme, leur crua
», toujours l'air fragile, ayant toujours besoin de l'attention d'Axel. Elle se penchait vers lui, lui murmurait des secrets, sa main délicate trouvant
nnaire. Je pensais être immunisée contre la douleur maintenant, que mon cœur était trop engourdi
ffaçait rapidement. Mon temps était compté. J'allais leur donner ce qu'il
peine audible. « J'ai plagié la t
aient un go
ses yeux écarquillés de surprise. Mes parents m'ont regardée, puis se so
t vers sa poitrine. « Tu te soucies enfin de ta s
tête, un air suffi
par comprendre. Elle avait juste besoin d'un
ue chose qui ressemblait à de la culpabilité les tr
prendrai soin de toi. Tu n'auras à t'inquiéter de rien. Même si tu ne
. Il parlait d'un avenir que je ne verrais jamais, d'une vie que je ne vivrais
e et calculatrice, a soudain sorti son téléphone. Elle a a
sa voix toujours dégoulinante de fausses larme
nté la cam
e ruiner ma vie ! » a-t-elle gémi, sa performance digne d'un Oscar.
daient, les yeux fixés su
ctif, dans l'œil froid e
e », ai-je murmuré, ma voix se brisant.
aversé la pièce. Ils avaient leur confe
de notifications. Le monde en ligne a éclaté dans une tempête de condamnations. « Jana Dubois, la plagiaire ! Honte à elle ! » « Co
nant », demandant de la gentillesse, se présentant comme l'incarnation de la grâce sous la pression. P
hance. Tu crois que tu peux rivaliser avec moi ? Tu crois que tu mérites leur amour ? Ils son
n esprit. Je l'ai regardée, la méchanceté pure et sans fard dans ses yeux, et j'
semblait à une étreinte bienv