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Mon dernier souhait : La trahison du fiancé

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1261    |    Mis à jour : 26/12/2025

vue de Ja

dant des années. Je voulais partir, échapper à l'air suffocant de leur drame familial fabriqué, où j'étais toujours la m

nant une barrière soudaine et intimidante. Son expr

un ins

confortablement vers Camille, qui était maintenant « e

echerche. Sa thèse doit être rendue bientôt, et

e, laissant l'impl

é, le même domaine de recherc

oilé qui menait toujours à ma propre disparition. Je savais ce qu'il voulait dire. Il at

ant désirée mais pour laquelle je m'étais effacée. Camille, la perpétuellement « fragile », avait toujours eu besoin d'un nègre littéraire, d'une ombre pour assurer sa réussite académique. Elle ava

ection de dessins dans lesquels j'avais mis toute mon âme, et l'avait soumis comme le sien pour

sement construite. Je savais pertinemment qu'elle ne l'avait même pas commencée. Pou

ille, sa voix dégoulinant de cette inquiétude manipulatrice familière. « Elle

ma poitrine se serrait, une douleur familière s'épanouissant derrière mes côtes. C'ét

agile, l'effort me coûta

e réussi à dire, l

e était morbide, mais étrangement détachée. Ça n'avait pas

illuminé, une vague ave

savais que tu

sa mallette, en sortant u

é tellement inspirée par ton travail,

mille, son regard

mbres et complices. Elle a pris la thèse des mains d'Axel, un sourire suffisant tordant ses lèvres. Puis

es lèvres effleurant

a-t-il murmuré en lui

e bras de manière enjouée, ses joues rougissant. La scène éta

nte décomposition n'avait pas émoussé mon esprit, j'aurais rugi. J'aurais hurlé jusqu'à ce que les murs tremblent, jusqu'à ce que leur paix fabriqué

traînant plus loin dans l'abîme. Des rires, légers et insouciants, m'ont sui

salon confortable, autrefois un havre de paix, ressemblait maintenant à un tombeau. J'ai regardé mes affaires – mes croquis d'a

qu'ils puissent tordre pour l'intégrer à leur récit. J'ai rassemblé méthodiquement chaque objet personnel, chaque trace de Jana Dubois, et les ai fourrés dans de grand

lutte. La maladie dégénérative rare, le tueur silencieux qui me rongeait depuis des mois, progressait rapidement.

mon souffle. Je suis vraiment en train de mourir. La pensée

de moi. Je devais me reposer, rassembler les derniers ves

laquant contre le mur. Axel se tenait dans l'embrasure, le visage déformé par la rage. Derrière lui, mes

el, sa voix tremblant de fureur et d'incréduli

ointant un doigt

ruelle ! Elle v

e murmuré, la voix r

s yeux flamboyants. « Tu as délibérément laissé Cam

sage marqué par la désap

ça à ta sœur ? Après tout ce

, la serrant plus fort, comme pour la

Ils l'avaient fait. Ils

ssitude m'envahissant. C'était donc

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