Affronte-moi
in – deux an
nveloppe
de la journée. Elle gronde, se déverse dans une cadence enchanteresse. Un
cereuse. La mise à mort sera l
xul
bi
omp
d se perd sur un point invisible. Après plusieurs minutes, je stoppe mon geste et porte le couteau à hauteur de mes yeux vers les lumières artificielles de la r
𝑛 𝑝𝑒𝑢 𝑑𝑒
tête et le dernier scénario orchestré par
fi
esque silencieuse dans laquelle j’étais plongé. Il se rév
apillonnent, luttent sur ses traits tuméfiés aux tons bleutés. Sa bouche est gonflée, déformée et se distend par de fines coulées
stionné-je en amorça
s mi-closes, sa tête se t
il tandis qu’il tente
oi, je ne fe
re de défi l
torque-t-il da
murs abandonnés quand il prend appui sur ses pied avant de s’effondrer au sol. Le sang gicle
, grogn
r, je finis de combler le vide qui nous sépare. Tê
ui demandé-je d’
-ce que tu
oignard entre mes mains, dans une lenteur voulue et joueuse,
blanches, lui confié-je s
s, vives… t
ses pieds ensanglantés, puis se repor
entravé, la pr
� 𝑚𝑒�
e. Sans lui, tes jambes ne te sont plus d’aucune utilité. Plus de fuite possible, plus d’échappatoire. Tu gis au sol. Ton instinct de sur
d, gém
ric
t. Je ne t’ai pas tué. Vois-ça
que tu m’ve
𝑑𝑒𝑚𝑝𝑡𝑒𝑢𝑟. D’un geste plus machinal que volontaire, je passe mo
-je en appuyant le cou
à ricaner. Il me
e er
e qu’il est, elle est certainement en train de danser à poil devant un vieux qui prend
nvie de l’égorger pour avoir prononcé ces mots, de le saigner comme un porc. Cependant, j
s ma quête, mon couteau glisse de sa g
, lui soufflé-je. Je sais que t
ux me scrutent avec interrogation.
on, ironisé-je. Pour un homme respecté e
à tomber, mon co
ce que ton sang noie tes poumons ? Une mort lente et suffocante. Ou bien alors, continué-je en remontant ma lame s
qui se finalise et se concrétise sont durs com
ue. Je m
oin viennent briser le moment.
mé sur toi, Ezra.Tu v
ité flagrante, je soupire sans
’y comp
ère la bouche trembl
que-t-il, à bout de force. Tu s
positionne so
proche de tes amis, mais e
osent lorsqu’il comp
mplèteme
ffre le salut et en plus de ça, je vais m’occuper pe
tourner sur le côté. Mais je le
qu’il me voudra entre ses murs. N’oublie jamais, pitoyable
nt à accélérer mon plan. Cruelle, délivrante, meurtrière, ma lame glisse e
ui murmuré-je prè
geste,
dernière pression fatale à ma victime avant de lâcher ma lame. Dos aux féd
, crache l’un d’eux en
, 𝑖𝑚𝑏𝑒́𝑐𝑖𝑙𝑒𝑠 𝑞𝑢𝑒 𝑣𝑜𝑢𝑠