Coma, cruauté et trahison
bras et mon torse étaient recouverts de bandages, avec d
ise près de la fenêtre, l'exp
tort ? », a-t-il demandé, sans la mo
le fixer, la gorge tro
oursuivi, la voix basse et menaçante, « les c
é la tête, trop épui
n ! J'étais si inquiète », elle s'est approchée du lit, sa main tendue vers la mienne. En se penchant, son sourire s'est
veuglante, m'a traversée. J'ai cri
faite de l'innocence blessée. Elle est to
t-elle sangloté. « Je voul
formé par la colère. « Tu es ingrate et cru
l'aiguille de mon bras. « Plus de médicaments. Plus de nut
gard si menaçant qu'elle s'est figée. Il était Caleb
ule avec la douleur lancinante et le gout
ux jours, avec pour seul apport de l'
jour, Caleb
a-t-il dit.
niversaire du prétendu « accident ». Le
à un cimetière. Il m'a emmenée devant tr
Franklin Reid
», a-t-il
ient faibles,
il dit d'une voix neutre. « Tu resteras sur ce chemin de gr
lui m'y on
e mon pantalon, puis ma peau. Je ne l'ai pas ressenti tout
es gens encore vivants, sûrement en train de profiter d'une journée au spa. Je r
'une masse sanglante et déchiquetée. Caleb est revenu, le vi
, a-t-il dit avant de repartir, me lais
e suis pa
squ'au bureau adminis
et a levé les yeux, les é
? », a-t-il demandé
me malgré la douleur. « Je souhaite
our un membre de votre fam
oit dans les yeux.
er d'autres questions quand la porte d
re. Il était revenu pour une raison quelco
ues ? », a-t-il hurlé, la