Coma, cruauté et trahison
al. Le vent était violent, soulevant ma fi
arpentant les lieux c
ti », a-t-il dit d'une voix dangereusement calme.
me pousser. Cela aurait ét
i un petit couteau émoussé. Il n'a pas coupé la corde qui liait mes poignets. Il a commencé à la scier, le
ntrebas, je voyais encore la tache sombre
cédé et je
n feu blanc. J'ai eu l'impression que mon corps s'était b
é pour Caleb, me tournant le dos e
al. Cela devenait une habitude. Chaque os me faisa
de ses amies flagorneuse
voix dégoulinante d'une fausse sympathie. « Encore e
n'est que le début. Je vais prendre pla
mies ont poussé un cri de surprise. Elle a arraché le col de s
qu'un, à l'aide !
s larmes simulées d'Hailie, sa robe déchirée, et mon corps silenc
ns ma mâchoire. « Tu ne peux vraiment pas t'en empêcher,
trop faible pour m
veux tant être une victime... » Il s'est to
ale, sont entrés dans la pièce. Un fr
onné Caleb. « Restez ici avec e
ie, elle a levé les yeux vers lui avec une inquiétude feinte.
a-t-il répondu froid
ial. Les deux hommes se sont approchés d
mais j'étais clouée au lit. L'un d'e
secouée de toute part. J'ai convulsé, et un jet de sang a jailli d
« C'est quoi ce bordel
le sang, les yeux éca
e mon lit s'est mis à hurler,
ée et D. Evans a fait irruption
hommes, qui ont déguerpi aussitôt. « Co
e au téléphone. « Monsieur, c'est une urgence. Son cance
Le bip frénétique du monit
calme m'a
. C'est la fin »
eux, prête à acc