Sous le masque du désir
idien banal. Mais sous cette façade paisible, grouille un monde invisible, tordu, brutal. La loi du plus fort règne, étouffant les faibles dans un silence complice. Les ruelles sombres
jour-là, quelque chose en lui s'est éteint. Quelque chose d'humain. Depuis, il s'est transformé. Il a grandi avec la rage comme compagne et la vengea
revanche brûlant ses narines. Puis, quand enfin il le trouva, il le déchiqueta sans pitié. Atlas était ce tigre. Mais contrairement à l
ié, gonflé de douleur. Ses yeux, vitreux, tentai
demanda Atlas, sa voix
agard vers son tortionnaire, l'effroi pei
capable de formuler autre chose. Il n
se douter qu'un poison avait glissé dans son verre. Tout s'est enchaîné ensuite. L'é
Où sont les autres ? » Si la réponse ne venait pas - ou ne plaisait pas - un doigt éta
in, fit Atlas avec un sourire cruel.
nglota l'homme, les larmes traçant des
r. Un unique faisceau lumineux découpait le visage du
e, répondit Atlas, avançant
révélé, la proie se figea,
st...
es doigts, répondit Atlas, glacial. Il se
tié ! Je vous
éfinitif. Le corps s'eff
grogna Xavier, s'approchant du cadavre pour é
inq, déjà,
t la tête, ses trait
a mort de sa femme. Je ne m'arrêterai pas tant
, brisé comme lui. C'est cet héritage, et les relations acquises par l'entreprise familiale, qui lui avaient permis
es Martini formaient une puissance que rien ne semblait pouvoir arrêter. Le problème, c'est que peu de gens savaient qui était vraiment le jumeau. Il agissait toujou
roche. Quelqu'un de suffisamment intime pour distinguer les deux frère
tlas ? insi
, clignant des yeux comme s
Qu
a le cadavre
Et moi, je dois rentrer. Ma femme comme
irement à lui, Xavier n'avait rien hérité. Il s'était construit seul, pierre après pierre, s'éloignant volontairement des tra
ec le frère d'Atlas pour le pouvoir. Car, il
un sourire presque imperce
t leur faire payer chaque goutte de san
cru voir danser des flammes. Des idées de torture t
i n'était pl
vengeance