Mourir pour son vrai bonheur
Allain avaient accepté, leurs visages un mélange de cha
e couloir, Madame Allain m'a ratt
te. « Je sais que tu as pris ta décision. Mai
llait demander avant m
« Il ne nous fait pas confiance. Mais toi... il pourrait t'écouter. Nous voulons just
régoire me voyait, une partie endormie de sa mémoire se r
ement occupés avec l'entreprise, Émeline. Nous ne pouvons
es, nées d'une vie passée à nous aimer tou
si que leur espoir
e serait pas ému par ma pré
e au bord d'un lac à des heures de la ville. C'était
bois branlant, faisant des ricochets sur l'eau. Il portait des vêtements qui n'étaient p
regard s'attarda dessus, et à cet instant,
emanda-t-il. Sa voix
nt ma propre voix calme. « Je ne s
se froncèrent. « Je ne retournerai p
nnaissais me parlait avec une chaleur qui n'appartenait qu'à moi. La voix de cet ét
dy Paul, les cheveux plaqués en arrière, l'eau dégoul
tit de l'eau, enroulant une grande serviette autour de ses épaules. Il s'agita au
t sculpté. Il le pressa dans sa main. C
et l'embrassa sur la joue. « Ne laisse personne te voir, idiot », murmura-
ndant trois semaines avant que nous ne le retrouvions.
épaule. Elle se figea. Sa main jaillit, agr
ix aiguë et paniquée. « Il était blessé, et il ne sav
es yeux. Je n'avais pas besoin de di
resserra. « S'il te plaît, ne me l'enlève pas. Je sais qui tu es. Tu es s
ervait Candy, son expression féroce et protectrice. Il était
douleur et de soulagement. Il l'aimait vr
ouvais pas le lier à moi avec un passé dont il ne
dre », dis-je calmement, ma voix so
egarda, d
ramener tous les deux à
carquillèren
logique froide et claire, « il ne viendra
fut retourné vers moi, il avait été frénétique pour la retrouver. Il avait à peine mangé ou dormi. Il avai
lisée, il était trop tard. Elle ava
ait installé sur lui, une ombre permanente. Et cette ombre s'éta
pas cela se repro
ce mais ferme. « Ses parents sont au courant pour