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Des cendres à son étreinte

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1243    |    Mis à jour : 08/08/2025

n petit appartement en Lorraine. Tout n'était que verre et acier, avec des vues pa

, tandis que le personnel de Morgane s'occupait discrètement de lui. Un médecin vint soigner les bleus et les coupures

n bureau au deuxième étage, mais il ne la voyait jamais. Elle était une présence qu'il

en contrebas, une galaxie tentaculaire de lumières. Il ressentit un profond sen

iel de verre, se trouvait le siège du Groupe Valois. Une lumière

la lumière vive. Une femme et un homme. Ils étaient proches, le bras de l'homme

, il le savait. C'éta

nt, sa main agrippant sa poitrine comme pour ret

ieur, le souffle court,

, mais le visage de son Ali. Son sourire, la façon dont ses yeux s'illuminaient quand elle le

un jour, son souffle chaud contre son cou. «

Tristan, l'homme même qui

avait-elle juré, ses yeux féroces d

lui avait offert une échappatoire, mais on n'échappe pas aux souvenirs. Ils faisaient partie d

a seule chose qu'il avait de sa vie antérieure, était dans un coin. Il s'agenouilla et l'

or lui avait écrites pendant leur temps ensemble. Son écriture é

it une a

ès che

à quel point tu es beau quand tu es concentré, avec cette petite tache de grais

oujour

l

ouilla. Il ne p

i avait écrit ces mots avait disparu, rem

rtir. Il devait tuer le

à la petite cheminée sans fumée. Une par une, il prit les lettres de la boîte et les jeta dan

e lui avait offert pour son anniversaire. Il

ser tomber dans la corbeille qua

alois est dans le hall et exige de vous voir. Elle est accompagnée de Monsieur Tristan de Valois. Ils provoquent un esclandre

e dirigea vers l'interphone.

t sourd d'agitation. La voix revint, troublée. « Monsieur, ils ont forcé le passage

ique que Tristan brandissait effrontément – une clé maîtresse probablement dérobée au bureau de la sécurité paniquée dans le chaos. Tristan

d'une voix traînante, ses yeux se fix

Léo, sa voix bas

r de vieilles lettres d'amour ? Comme c'est pathétique. Tu ess

le et attrapa une poignée de lettr

ux de Tristan parcoururent la page, et son sourire s'élargit. « Oh, c'est e

bas de la page. La signature.

e narquois disparut, remplacé par une

sors ça ? » siffla-

o, sa voix plate. « Avant que toi

rma rapidement en rage. Il fr

harceleur malade et tordu ! » Il se jeta sur

. « Sors de ma

ande école de commerce se fissurant pour révéler la jalousie fréné

evenant plus forte, plus hystérique. C'était un animal acculé, se

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