L'Amour Bafoué: Vengeance d'une Épouse
dans l'immeuble s'étaient transformées en certitudes. Jeanne était devenue la
terceptée dans le hall par Madame Pinson, la concierge, une femme
ente. « J'ai eu des plaintes. On me dit que vous ne vous comportez pas bien avec votre belle-mè
d descendit les escaliers, com
de », sanglota-t-elle, s'appuyant contre le mur comme si elle allait s'évanouir. « Elle m'
mandé un festin pour sa mère. La colère, froide et pure, submergea Jeanne. Toutes les insulte
Le hall était silencieux. Madame Pi
e s'avança et gifl
. Ce n'était pas une petite tape, mais une gifle vio
e Bertrand, la main sur sa joue rougie, regarda Jeanne avec des
tout b
ois, il n'avait rien de théâtral. Elle se plia en d
rla-t-elle. « Elle m'a
it à crier, appelant à l'aide. Pierre, alerté par le bruit, dévala les escaliers quatre à quat
! Qu'as-
ertrand sur un brancard sous les regards horrifiés des voisins qui s'étaient a
elle a essayé
te, l'accouchement s'était bien passé. Madame Bertrand, à soixan
ue sa vie venait de basculer. Elle était désormais l'agresseur,
même pas. Il se dirigea directement vers le bar, se
magazine à scandale, sans doute alerté par un vo
re, l'enjolivant, faisant de Jeanne un monstre de cruauté. Puis, il livra le
parfaitement. « Je commence à me demander... L'enfant qu'elle a perdu...
ncée publiquement, était une
uniforme militaire impeccable. Il était grand, imposant, avec des cheveux grisonnants et un visage sévère.
ierre avec une sympathie sévère, puis se p
ris la nouvelle. Et j'ai entendu votre conversation. Il semblerait que nous ayons une affa
t de se referm