Deux Âmes Contre Le Destin
aient. Ou plutôt, Chloé dictait et Amélie exécutait. L'air, habituellement parfumé de rose et de lavande, sen
e en arrière-plan, mais il était maintenant recouvert d'une couche d
ée au centre d'un cercle de pétales noirs. « Il faut le déstabiliser. Le
rt contemporain. Il y avait mis toute sa réputation en jeu. La pré
ans la poche intérieure gauche de sa veste, » a expliqué Chloé. «
ie a acheté une clé USB identique. Puis, sous les instruct
une belle fleur. Élégante. Et un poison violent. On ne va pa
la résine de pin et une goutte de son propre sang. C'était la p
onnexion. Ton sang le to
cher. Le lendemain, elle a attendu près du café où Marc prenait son expresso matinal, tous les jours
-elle dit, sa voix p
sa poche, a échangé les clés USB, et est ressortie. C'é
ites attention, » a-t-il grogné
, et les fichiers seront corrompus. Pas complètement détruits, juste assez pour qu'il passe la nuit à ess
e, Chloé pouvait "sentir" la frustration de Marc, son anxiété gr
ébut. Leur vengeance est
uet anonyme au bureau de Marc. Un magnif
ils sont juste joyeux. Il ne saura pas pourquoi, mais ce bouquet le mettra mal
xuriantes, ont commencé à se flétrir. Une nuit, une canalisation a éclaté dans son appartement, i
. Les jours passaient, et le compte à re
it" arpenter son bureau, le visage cireux, les yeux cernés. Il
moment du c
âgé, plus respecté, du nom de Jean-Pierre Lamy. Marc le déte
onyme, envoyé depuis un cybercafé, destiné à tous les me
oublantes" entre le projet de Marc et un obscur concept architectural polonais des années 70. Il joignait des images des deux projets, habilement mod
ien, mais ça sème le doute. Le doute est un poison p
ique, la porte fermée, le téléphone à côté d'elle. Elle n'ava
ient des regards interrogateurs. Jean-Pierre Lamy étai
ement. Il sentait l'hostilité dans la pièce. Quand il a affiché ses plans, un murmur
ions ont commencé. Des questions pointues, sceptiques. Marc s'est défendu, mais il
ortait sa décision, le temps d
liation publique. La carrière de Mar
n'a ressenti aucune joie. Seulement un vide
la rose fanée s
? » a-t-elle dem
elle l'a fait, elle était dénuée de sa jubilation
coupable. Et nous, ma chère fleuriste, nous allons lui donner quelque chose de bien plus gran
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