L'Éveil de Camille Dubois
, me secouer, puis finalement me lâcher avec dégoût avan
, je me suis demandée pourquoi j'avais f
u'elle me rongeait de l'intérieur. J'avais besoin de crever l'abcès, de d
étais l'étudiante extravertie, toujours entourée d'amis, présidente du bureau des étudiants. Il était le
ne. C'était vrai. Je l'aidais à naviguer dans le monde social, à parler aux professeurs, à se
riés juste après nos diplômes. J'ai trouvé un travail de traductrice d
travaille encore aujourd'hui. C'était une opportunité incroyable, mais il était incapable d
à son bureau. Je me suis liée d'amitié avec les secrétaires, les assistants, même les femmes de mén
hercheur, pas un homme politique », dis
hé, mais comme le mari de cette charmante Camille. On l'invitait à des déjeuners, on lui donnait des informations e
et ses primes augmentaient de façon spectaculaire. Mon travail de traduct
it-il dit un soir. « Juste le temps que Léa soit un peu plus grande. Avec m
, de construire un foyer chaleureux pour ma famille, était aussi très séduis
s faits maison, Léa était une enfant épanouie et heureuse. J'étais la cheville ouvrière de la vie de Marc, géra
mière fois. Marc travaillait sur un rapport important. J'ai jeté un œil par-dessus
un joli nom. Elle doit être douée pour travai
as ri. Il
pondu sèchement, sans me regarder. I
m'a su
une blag
vers moi, son
vite ce genre de remarques, s'il te pl
disproportionnée. Mais j'ai mis ça sur le compte du st
omber. Je n'y
ux. Le premier signal d'alarme. Et je ne l'ai pas vu. J'étais tranquillement endormie d