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Un Pacte Avec Le Diable Masqué

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1203    |    Mis à jour : 02/07/2025

a écouté mon histoire sans m'interrompre, ses doigts tapotant un rythme sile

eau... il a des racines partout. Dans la police, dans la justice, à la mairie. Je suis moi-même surveillé. Si j'ouvre une enquête of

ien faire ? » ma voix

ement. Mais je ne peux pas te promettre

l avait peur. Il était impuissant. Personne ne m'aiderait

trée dans la chambre. Elle est la sœur de ma mère, une femme pragmatique q

vaut plus rien. Cette maison est remplie de mauvais souvenirs. J'ai un acheteur pour le cabinet. Vends,

? Aband

Tu seras la prochaine. Qu'est-ce que tu crois pouvoir faire, seule ?

ent d'un endroit de peur. Une peur qu

l les avait combattus de front. Il avait joué selon les règles, cont

la toile : Auguste Moreau. Un magnat de l'immobilier, un philanthrope en public, un monstre en privé. Mon père l'avait traqué pendant des années.

une robe simple et noire. J'ai attaché mes cheveux en un chignon strict.

avocat. Je suis allée directement au cœur de l'empire. La Tour

e a essayé de me

ne reçoit pas sa

t ici. La fille de Jacques Duboi

minutes plus tard, un homme de la sécurité m'a escortée jusqu'à un ascen

assis derrière un bureau de la taille d'une voiture. C'était un homme d'une soixantaine d'années,

te performance devant le commissariat, je m'attendais à des avocats,

aucune peur. Juste du calme et de la déterm

ue pour vous accuser

un sourcil

es-vous ici ? Pour me sup

tenu son

enue pour v

fixait, son visage un masque d'incrédulité. Ses gardes du corps, postés près des murs, ont é

i ? » a-t-il répété, comme s'il n'

combattre un homme comme vous, il a dû apprendre à vous comprendre. Il a appris à penser comme vous. Il a compilé des années d'informations sur vos rivaux, vos faible

sant absorber l'absurdité et

ors, je choisis de me joindre à vous. Tout ce savoir, toute cette analyse... est inutile dans un cercueil ou un lit d'

rchant la faille, le piège. Il ne voyait qu'une jeune femme désespérée, p

e de votre père ? L'homme

en acceptant la réalité. La réalité, c'est que vous avez gagné. Je ne suis pas là pour la jus

yant la lueur d'intérêt avide dans ses yeux, j'ai su que j'avais touché une corde sensible. Il n'était pas seulement un criminel. C'était un

sourire de prédateur qui vient de voir sa

et la plus brillante que j'ai

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