Un Pacte Avec Le Diable Masqué
penthouse opulent qui occupait tout l'étage. Il était en robe de chambre, l'air fatigué mais l'œil vif. La rumeur de ma nouvelle
n geste calculé pour me mettre à l'aise, ou pour me tester. « On dit que vous avez hérité de
, ni nié. J'ai simpl
mprendre un esprit criminel, il fallait comprendre toutes
it ? » Il y avait du scepticisme dans sa vo
entation, des tisanes spécifiques, des techniques de respiration. Des choses simples, mais qui pe
ge. Mais mon offre était trop alléchante. Lui donner la santé et la tranquillité d'esprit en échang
ous serez ma conseillère personnelle en bien-être. » Il a souri. « Et en sécurité. Ne l'oubliez jamais. Votre p
sien. Un poste officiel. Conseillè
eurs de la vérité. Une famille qui, depuis des générations, se consacrait à comprendre et à documenter les rouages du pouvoir, souvent dans l'ombre. On ne p
remèdes naturels. Elle était morte quand j'étais jeune, mais elle m'avait laissé ses livres, ses carnets, son savoir. Un savoir que mon père, l'homme de logique et de f
ais une simple confidente. Elle écoutait les secrets des puissants, non pas pour les trahir, mais pour les comprendre. Sa capacité à prédire les scandales politiques et les faillites boursière
édit sa chute, non pas pour le menacer, mais pour le mettre en garde, conformément à son éthique d'observatrice. L'homme, dans sa fureur et sa paranoïa, a cru qu
ation de Dubois : "Ne jamais devenir la menace. Observer, do
règle en s'attaquant directeme
e une observatrice neutre. J'allais utiliser son approche – la confiance, la proximit
ution s'est solidifiée. Je n'étais pas seulement la fille de Jacques Dubois, le détective. J'étais
venait de laisser une empoisonneuse entrer dans sa maison. Pas une empoisonneuse
fimes, des mélanges lents. Je n'allais pas le guérir. J'allais le décomposer. Lentement. Pièce par pièce. Je lui prendrais sa santé, ses alliés, sa fortune, son esprit. Et quand il ne