Le Choix de l'Abandon
au cœur des bois, nous attendait. J'avais passé la semaine à tout préparer, imaginant
cée à Marc Dubois, architecte de ren
sac dans le coffre de la voiture quan
t changement d
njouée, un peu trop légère.
ce qui se
hloé ? Chloé Martin,
ntre, la bohème, celle dont il parlait par
et al
perdue. Je l'ai invitée à se joindre à nous pou
ponse. C'était une affir
dég
ien sûr
heveux en pagaille et une robe à fleurs qui semblait flotter
urire immense qui n'a
m'avoir invitée ! Marc m'a
rc. Il évitait mon regard, occupé à so
rcé un
Chloé. Bi
nconfortable. C'était elle, la concurrente,
rajet à se remémorer des souvenirs d'enfance, des anecdotes dont j'étais totalement exclue. Je suis restée silen
ait deux chambres. La nôtre, grande et confortable, avec une vue sur
les valise
nde chambre, elle a fait un long vo
regarder, comme si ma p
e chambre". Il a dit
ait une p
pas déranger. Je peux
connaissais plus. « Adèle et moi, on se serrera dans la pet
it que j'acquiesce, que je joue mon rôl
'ai juste hoché la
, la conduisant vers la chambre qui aurait dû être la nôtre. Chl
e. Elle a vu toute la scène. Quand nos regards se sont croisés, j'ai vu dans ses
et de repartir à Paris m'a traversé l'esprit. Mais où sera
n, pendant qu'ils s'installaient à l'étage.
ard, ils sont
marché du village, tu v
ses écharpes en soi
oix neutre. « Je suis un peu f
isté. Il semblai
e tu veux. On ne
la portière pour Chloé. Un geste qu'il
de Chloé, ce n'était pas n'importe quelle écharpe. C'était celle que Marc m'avait of
du métal se propageant dans tout mon corps. La trahison n'était plus s