Claire, mon doux poison
ons du médecin par automatisme, laissant Claire gérer les détails. Chaque mot qu'elle prononçait, c
l'hôpital, j'ai dit que je v
ux te ramener, » a-t-el
. » C'était un prétexte faible, mais elle n'a pa
filer. Les gens, les voitures, les couleurs... tout ce que j'avais cru perdu à j
larmes chaudes, silencieuses, qui coulaient le long de mes
a tête. La façon dont son corps se pressait contre le sien. L
op. C'étai
ple sur le trottoir. Ils riaient, se tenant la main. L'ho
. Mais il a tou
studio. Jeune, pleine de vie, avec des yeux qui pétillaient de passion pour les jeux v
à rêver de créer notre propre jeu, un monde qui serait le nôtre. Elle disait : « Je
ses. Des m
sortions d'un restaurant. Une ruelle sombre. Deux ombres qui surgissent. I
échi. Mon corps
s mis dev
uglante, sur le côté de ma tête. Le mé
dit que le nerf optique avait été touché. Irréversible. J'étais aveugle
lle pleurait. Elle
as fait ça pour moi. Je ne te quitterai
cru à ses larmes,
. Puis, les choses ont changé. Subtilement. Des appels téléphoniques auxquels elle répon
Marc sur elle. Et j'ai vu, ou plutôt, j'ai senti quelque chose d'autre. Elle portait une veste d'homme,
premier
'ai cru devenir fou. Je n'en ai parlé à personne. Chaque jour, le monde dev
a vérité est appa
e textait, un sourire aux lèvres. J'ai pu lire quelques mots par-dessus
J'ai entendu des bruits dans le salon. Des chuchotements. J'ai rampé hors du lit
phone. Sa voix éta
je le veux...
ermés, en écoutant la voix d
le lit, tremblant de tous mes membres, et j'ai fait semblant de dormir profondément.
nt notre immeuble. J'ai
ns l'appartement, elle
ur ? Tu m'as fait peur
iétude. Un masque que je voyais m
» ai-je dit. « Je
l'air soulagé. « D'acc
le vivait dans son mensonge, p
le allait être bien plus brutal