Le secret d'Antoine
ti pour un "dîner d'affaires", le Dr. Lefevre m'a ap
est pas ma place... mais je
espace autrefois chaleureux, maintenant une scène de théâtre où je jouais mon
ça », a-t-il fini par dire, s
e. Je lui ai demandé s'
du, le cœu
» ai-je demandé d'une v
ndrait soin de toi, qu'il s'assurerait que tu ne manques de rien. Il a parlé
. Mes larmes, si longtemps contenues, ont commencé à couler. Je n'ai même pa
son ami depuis l'université, mais
e, les peluches sur l'étagère. J'ai fermé la porte, je me suis laissée glisser au sol et j'ai hurlé. Un cri silencieux, un hurlement de l'âme qui ne fran
prévu. Il m'a vue là, sur le sol, en larmes. En une seconde
lui... C'est normal. Ne t'inquiète pas
corps rigide dans son étreinte
ai-je murmuré contre son cou, m
ans mes bras. Il
e, sa réaction. Il s'est reculé, m'a regar
ce nouveau bébé va guérir cette blessure. Tu sera
contracté pour exprimer une compassion qu'il ne ressentait pas. J'ai comparé ce masque à la froideur de ses paroles dans l
a soirée, il a s
. C'est un mélange de vitamines et un léger sédatif
ndre. J'ai tendu mon bras, le cœur battant à tout rompre. Il a désinfecté ma peau avec une douceur calculée avant de piqu
tendu. Il pensait que je dormais profondément. Il était
e t'inquiète pas pour la ressemblance. C'est pour ça que j'ai retardé le dernier examen morphologique. Je ne veux pas qu'elle
celui de Coralie. La préméditation était totale, méticuleuse, diabolique. Même dans la brume du sédatif, une dernière pensée