Ma Seconde Vie
le plateau de champagne tremblant dans mes mains, et au centre, lui, Antoin
rreau, celui qui, la veille de l'examen d'entrée aux Beaux-Arts, m'avait droguée, an
: « Comme on se retrouve, Jeanne. Servir, ça te va si bien. » Leurs rires ont résonné, m
u le pousser à une telle trahison, détruisant non seulement mon talent, mais aussi mon âme, me condui
ma chambre d'adolescente, mes mains lisses et mon calendrier affichant trois mois avant l'examen. J'é