Le Trône de la Reine Jeanne
t je me souvenais, une douleur si inte
vêtements en lambeaux, et les cordes rugueuses, que mon propre fiancé Louis ava
it, et les rires cruels des hommes de la
i, mon frère, son visage tordu par une ha
regard fuyant le mien, mais je pouvais voir la
Mon as
a pour
nté sur le trône suite à la mort de notre père. On m'avait dit que c'ét
t un m
. Ils se vengeaient parce que, le jour de mon anniversaire,
commandée spécialement pour moi, et l'avait portée pour da
s tortures que les mots ne peuvent décrire, chaque jour étant une nouvelle d
ait mes poumons, une seule pensée brûlait dans mon esprit : si se
ité a to
une lu
chaleureuse. Le parfum des lys, mes fleurs préférées
and salon de mon palais. La lumière du soleil filtrait à travers les
uché mon visage, mon cou. Ma peau était intacte, sans la moindre cicatr
t-ce
est passée en
versaire, Vot
nnive
paniquée. Les décorations, les invités qui commençaient à arriver, l'or
même. Le jour où
is re
, tout était si vif, si réel. Ce n'était pas un r
cherchant les visages de mes b
ait ma robe. La robe impériale, tissée de fils d'or, d'un bleu si profond qu'il r
phe mal dissimulé, savourant les regards admiratifs des inv
euse. J'avais crié, j'avais fait une scène, ce qui
ette
ortelle. Je ne ressentais plus l'humiliation ou la colère impul
ir de mon statut royal revenir en moi, non
ix résonnant dans le silence souda
ard
sont immédiatement approc
, qui s'était arrêtée de danser,
ne voix claire et sans appel
oqué a parcou
ntièrement concentrée sur la silho
r oser porter une