La fin d'une mascarade
te le jour où j'allai
s encore chaud mais déjà sans vie, le sile
tre fille, puis m'a regardé, moi, et son visage n'exprimait aucune tr
es enfants, Sophie p
e s'il me proposait une tasse de café. Sophie, sa
mort. Le cœur brisé, je n'ai ressenti qu'un vide glacial. Toute la do
ous souhaite tout l
fin. La fin de mon mariage, la fin de ma sou
je supportais depuis trois ans. Aujourd'hui, j'allais enfin retrouver ma fille, Lily. Trois mois. Trois mois qu'on me l'avait enlevée, sous prétexte que ma dépression post
lée. Je voulais être belle pour Lily. Je voulais lui montrer que sa maman était guérie, qu'elle était forte et prête à la reprendre. Je me suis regardée dans le mir
a chambre. Elle était la seule personne dans cette
ous êtes ma
pas ses yeux. Elle a regardé la robe, et u
très belle r
a h
-t-il, C
demoiselle Leclerc a la même. Monsieu
utre rappel de ma place. Mais je n'ai rien laissé paraître. A
rtance, Cécile. C'e
ait. Ça en av
enu me chercher. Il avait l'air impatient. Dans la voiture, il m'ava
uvoir revoir Lily aujourd'hui. Mais il faut y aller doucement. S
t beaucoup occupée d'elle." Comme si j
ma fille
endrais. Mais tu dois comprendre que tu as été malade. Vraiment malade. O
de ressentir la joie que j'étais censée éprouver. Mais au lieu de me soutenir, il avait utilisé ma vulnérabilité contre moi. Il m'avait fait interner dans une clinique luxueuse, loin de tout, pendant que sa
annonçant un après-midi de canicule. Je n'avais qu'une seule pensée en tête :