L'Écho du Second Rôle
erre commença le grand ménage. Il ne s'agissait pas de poussière ou de dés
nirs. Des photos d'eux enfants, des lettres qu'il lui avait écrites, des petits cadeaux qu'elle lui avait off
r "leur" espace. Il les empila sans ménagement près de la porte. Il vida les placards de tous les
ique. Chaque objet jeté était un lien de plus qui s
. C'était Sophie, suivie de Marc qui s
arrêtant sur les sacs poubelles et les
glaciale. "Encore une de tes crises de colère ?
que tu voulais que je disparaisse de ta vie. C'est ce q
uler, Pierre. Je ne tombe
ule pas. Je sui
liante. "Sophie, ne t'énerve pas. Je suis sûr que Pierre ne le pensait
ie sur le visage. "Je sais que c'est difficile. J
s ? Tu le fais souffrir. C'est de ta faute s'il est dans cet état. Notre relation n'a jamais été q
tes ces années d'espoir et de dévotion, balayées par une simple phr
a seule pièce qui lui appartenait vraiment. Il ferma la porte derriè
rte s'ouvrit doucement. C'était M
commença-t-il, sa voix basse et c
avec méfiance. "Il
endre pourquoi Sophie est comme ça. Ce n'est pas
ça les sour
amour. Ce lien est trop fort, trop profond. Il l'effraie. Alors elle se réfugie avec moi. Je suis simple, je suis sûr.
explication si cruelle, si parfaitement conçue pour lui donner un faux espoir et le mai
nfusion, l'épuisement... tout se mélangea en une vague in
ule. "Je suis désolé de devoir vous dire ça.
ol. Il perdit l'équilibre et, dans sa chute, renversa un pot de térébenthine bouillante que
cri de doul
nique et la fureur en voyant Marc à terre, se tenant le bras. Ses yeux se posèrent sur Pierre, et tout