L'Écho du Second Rôle
ps mince, mais il ne le sentait plus. La faim qui le rongeait depuis des jours avait disparu, remplacée par un vide e
e se trouvait Sophie Leclerc. Son amour d'enfance, la femme pour qui il avait tout donné. Il avait abandonné ses prop
souffrir pour que l'héroïne, Sophie, puisse trouver son véritable amour, Marc Bernard. Son existence entière n'était qu'une note de bas de
râne. Ce n'était pas la douleur du froid, m
u personnage secondaire "Pierre Duboi
s émotion, résonna dire
e. Retour de trois ans dans le passé.
désorientant. Quand il reprit conscience, il haletait lourdement. L'odeur familière de térébenthine et de peinture à l'huile emplit ses na
e. Il jeta un coup d'œil au calendrier sur le mur. La date était écrite en grosses
ns sa vie passée, il s'était précipité pour répondre, le cœur battant d'espoir et d'anxiété
décrocha. La voix de Sophie, froide et distant
parle. Je veux rompre n
ée, avait demandé pourquoi, avait promis
vahit. Il avait déjà vécu le pire
propre voix le surprenant par s
Il pouvait presque imaginer son visage, ses sourci
ment, son ton trahissant son incrédu
, ta décision. Je te s
a le téléphone, le cœur battant à tout rompre, non pas
autre numéro. La voix chaleureuse de sa
ue vous vendiez la maison. Toi et Papa. Et que vous quittiez la ville. Je vais vous
passe ? Tu nous fais peur," dit sa mè
laît. Faites-le. C'est la chose la plus i
l'emportant sur sa confusion. Après avoir raccroché, Pierre sentit un poids
telier. Il n'eut pas besoin de demander qui c'était. Il ouvrit la porte
re ?" siffla-t-elle. "Tu crois que tu
dre. Elle l'attrapa par le bras, sa poig
e de luxe. Elle conduisit avec une vitesse imprudente, ses jointures blanc
," ordonn
privée au dernier étage. À travers la vitre, il vit un jeune homme allongé sur
nement remplie d'une tendresse angoissée qui n'était jamais pour
sa vie précédente, il avait été consumé par une jalousi
l. "Tu vas attendre qu'il se réveille, et tu vas t'excuse
couloir. Il s'adossa au mur, se sentant comme un prison
oiselle Leclerc," dit l'une. "Il est
Marc Bernard. Le garçon là-bas, c'est juste le pe
rsonnage secondaire. Il ferma les yeux, un sourire amer et résigné sur les lèvres. Très bien. S'il ét