icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon

J'irai mourir en février au fond du jardin

Chapitre 5 No.5

Nombre de mots : 1348    |    Mis à jour : 04/11/2021

rit, avec ce sourire ultra lumineux, il approcha doucement sa main de mon visage

, on va danser au sous-sol !

mment sai

ve done my homework ! dit-il avec

rs, tu ne cesses

t'invite à danser, dit-il en f

ts en le voyant se déhancher comme un pantin désarticulé. Il faisait de son mieux, mais il n'avait décidément aucun sens du rythme. Il profita du moment où j'étais littéralement pliée de rire, pour m'enlacer faisant mine de m'aider à me redresser, il planta à nouveau son regard dans le mien, fit un mouvement de recul de la tête comme pour mieux me regarder, il avait soudain le visage grave, il m'embrassa. C'était

, mes mains s'agrippaient à son dos musclé. Ses lèvres charnues s'égaraient le long de mon cou. Je passais ma main dans ses cheveux et sa nuque puissante. Il

me voir à Paris les week-ends, nous allions au théâtre, et dîner dans des petites gargotes du Sud-Ouest, il adorait le foie gras. Je découvris assez vite que Jack était d'une jalousie maladive, certainement plus marqué par le divorce de ses parents et l'adultère de sa mère qu'il ne voulait bien l'admettre. Je me souviens d'une balade

e Léa, qui m'avait embarquée voir un film au cinéma pour me changer les idées. J'avais délibérément pris soin de ne pas être chez moi, sachant qu'il n'avait pas les clefs, hors de question qu'il me trouve enfermée à me morfondre. Je voulais qu'il se casse le nez devant ma porte close. Mais en même temps, je n'étais pas sûre de l'y trouver, de rage, il aura

ns, tes fleurs n'y feront rien. Je ne tolère pas ce genre de crise ridicule, q

tellement, ça me rend fou d'imagine

jalousie maladive, c'est infernal, tu ne peux pas la laisser en dehors, tu ne peux pas t'empêcher de la laisser s'immiscer dans notre couple, l'Autre, là, cette putain de jalousie, qui saccage tout ce qu'il y a

, dé

uivit,

en excuses, me dit à quel point il était fou de moi, et me dit : « Stella, tu es la seule personne qui a réussi à chasser la peur au fond de mon cœur, mais tu l'as remplacée par une autre : celle de te perdre ». C'était une mise à nu. J'étais émue, mais cela ne m'

ur le canapé. J'adorai ses caresses, ses mains puissantes glissaient le long de mes jambes, de mon dos, il m'électrisait. En un instant, nous étions nus au milieu des coussins, sur le canapé, sans nous soucier des rideaux ouverts et de la vue

u'un d'autre pour lui, car lui savait me faire vibrer... Il n'aurait pas survécu à sa jalousie maladive, l'Autre comme je l'appelais. J'avais vraiment l'impre

an-Baptiste. Jean-Baptiste, le gen

Bonus à réclamer dans l'application

Ouvrir