Dans les griffes de la Mafia 1
blanchir l'argent, savourait son petit déjeuner. Le soleil matinal filtrait à travers les fenêtres de
marqué par les années, avec des rides profondes autour des yeux et de la bouche. Ses cheveux noirs étaient grisonna
sse de style néo-classique, avec une façade en marbre blanc et des colonnes imposantes. L'intérieur était décoré ave
es cheveux bruns et des yeux bleus hérités de sa mère. Il était intelligent et ambitieux, et il a
espiègle, avec des cheveux blonds et des yeux pétillants. Il ad
es entreprises de Geovani, lisait le journal en sirotant son thé. Ses deux
tardant sur les articles financiers. Son empire, construit sur
, fit
répondit le
on thé, je dois te déposer avan
ui
sse ton frère. Je ri
cord m
ent, amplifié par le calme ambiant, fit sursauter les enfants et attira tous les reg
s de téléphone quand on est à
les escaliers, son visage crispé par l'appréhension. Le silence s'était fait pesant dans la sa
le téléphone à son oreille et pron
oritaire du parrain ré
toute urgence. C'est très important
elle h
te su
'ac
sa famille. Son visage était pâle, ses traits tirés. I
us urgent avec un investiss
oins finir ton
chéri
ent repassée, posée sur le divan de l'autre c
nfants tendrement, un baiser
tendant patiemment en bas. L'un d'eux prit le volant de la voiture blindée tandis
parrain, ordonna-t-
acle, tandis que la voiture se faufi
mêlaient aux cris des enfants qui jouaient, tandis que les klaxons des taxis et les sirènes des ambulances créaient une symphonie urbaine cacophonique. Les o
d'hommes d'affaires pressés en costume cravate, et de mères de famille accompagnant leurs enfants à l'école. Des
e dressaient vers le ciel. Les vitrines des magasins étaient décorées de mann
ie unique. Un ballet incessant d'individus et de véhicules, une cacophonie de sons et d'odeurs, un