Dans les griffes de la Mafia 1
ait parmi eux. Il voulait le mettre hors d'état de nuire.
exclama Bri
it une grande inspiration et ajusta sa cravate, comme s'i
-il au courant
ron. Je ne
s sourcils et f
, j'ai quelques
cord,
t son téléphone portable de sa poche et composa un numér
Brian,
demanda Bri
ns mon casin
iens t
'ac
sa voiture et fit signe
ompagnes q
ord, mo
ans la deuxième voiture
*
umière des lustres, semblable à une pluie d'or, illuminait les visages des joueurs avides de fortune. Des chuchotements et des ri
rtes distribuaient les cartes, lançaient la roulette et ramassaient les jetons perdants avec une précision chirurgicale.
ccables côtoyaient des aristocrates aux regards hautains, des bourgeois endimanchés et
ts balayaient la salle, à la recherche de tricheurs ou d'agitateurs. Leur présence si
ons luxueux, décorés de velours et de dorures, offraient un cadre raffiné où l'on pouvait se détendre entre deux parties. Des boissons ra
ien plus qu'un simple lieu de jeu ; c'ét
r, équipés d'oreillette et d'un arsenal dissimulé sous leurs costumes sombres, filtraient les entrées avec une vigilan
téléphone à touches dorées, trônait au centre de la pièce, symbole du pouvoir et du contrôle absolu de Jacques. Un bar élégant, garni de bou
ieu de négociations cruciales et de décisions impitoyables. C'est là que Jacques recevait ses affidés, concluait des al
s avec des tableaux de maîtres it
, digne d'une armée. Fusils d'assaut, pistolets automatiques, grenades et autres arm
mbole de son pouvoir absolu. Un endroit où se tramaient les intrigues les plus sombres, où se négociaient les all
usement de long en large, ses mains crispées trahissant une tension intérieure croissante. L
bouteille de whisky et remplit un verre d'une main tremblante. Le liquide ambré coula dans sa gorg
intensité inquiétante. La fumée s'échappait de ses lèvres en volutes épaisses, créant une atmos
s le re
trer, ordona le g
c vous ? deman
este ici. Je t'appellerai q
a avec élégance. Jacques se leva et lui se
aujourd'hui. Tu en veux ? dit J
uoi pas, rép
acques alluma le briquet, et en quelques secondes, une
je suis là, j'imagi
ignore, répo
fait ça, Jacques
oi parl
dit Brian en se levant. As-tu oublié que je suis le
quoi tu parles,
sourire diabolique alors qu'une large b
détournement, c
pprocha de son petit bar et reprit la bouteille de whisky avec un verre pour son ami, il l
tu me trouvera
aux parrains ? Ce casino ne te suff
e savais que tu va
es-tu que j'aurais peur de
Tu cherches à avoir plus de place, je sais pas peut-être p
du pouvoir mon cher
livrer ou faire autrement. Soi
ent ? Et qui e
se. Ils sont en état de nuire à l'heure que je
i vient de no
je le fais confiance c'est jus
ormer avant de fair
lais pas
upait dans la lumière faible, projetant une ombre menaçante sur le mur. Il saisit le clavier numérique et, après avoir inséré
le fond du coffre. Des faux passeports, à différents noms et nationalités, étaien
ur la table. Le sac était lourd, rempli d'un butin dont la nature exacte resta
'est des
llecte chaque jour sur
eulement il vend ses armes illég
rcentages qu'il
ends maintenant pourquo
, veux-tu
s il faut que nous trouvions quelqu
t diff
Et
n, s'il faut vexer du sang pour atteindre l
s'étonn