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Dans les griffes de la Mafia 1

Chapitre 4 Chapitre : 04

Nombre de mots : 1428    |    Mis à jour : 27/05/2025

servit à nouveau à Brian. Il remplit ég

élit Jacques

ieux placé que moi pour me parler du dél

s il a des familles et i

euvent être déterré du jour au le

De quoi p

t toi qui es responsable du vol de

t'en a

tout. Soit nous faisons équipe, soit nous

ée des con

c'est nous ? Dis

raison.

, ton plan c

i chez toi, je pass

lui dir

dire que j'

e pi

re en attendant que nous mettons plus de stratégi

t mon cher ami. Heur

oudés frère, ne

appela l'un de ses comptables qui compta l'arg

t à l

voir vidé son verre. Une fois dehors,

*

aux grandes fenêtres qui donnaient sur la ville. En son centre, une table ronde en bois massif trônait, tel un îlot de savoir et de discussion. Auto

e nuance, chaque émotion. Derrière des consoles dernières cri, des techniciens dévoués s'affairaient, ajustant l

aux discussions animées, l'information prenait vie, se transformant e

iraient sur leurs ordinateurs portables, peaufinant leurs articles, rédigeant leurs scripts, menant des recherches approfondies. Des pile

aient l'effervescence intellectuelle qui régnait dans les lieux. L'odeur du café fraî

tuaient le rythme effréné de la journée, chaque journaliste apportait sa pierre à l'é

r, ses yeux rivés sur l'écran. Son visage, concentré et déterminé, tra

entration. D'un geste vif, il saisit l'appareil, consulta l'écran et décrocha. Un

vers la sortie. Son pas était pressé, son esprit déjà bouillonnant

une femme, renversant son café sur sa chemise blanche immaculée. Un flot d'

e, un mélange envoûtant de fraîcheur et de charme naturel. Ses longs cheveux châtains

ur son menton. Sa peau, d'une blancheur immaculée, contrastait avec la co

e dégageait une élégance naturelle, une grâce qui se mani

était humble et sincère, son regard empreint d'une douce timidi

chemise blanche de Luca po

e ! s'exclama la jeu

r les dégâts avec un mouchoir, mais la

able, soupira-

désolée, répéta-t

oi qui n'ai pas fait attention,

che sur sa chemise le rendait nerveux. Soudain, la porte s'ouvrit et un homme d'un certain

et redoutée de tous. Son regard perçant bal

ournaux avec sérieux ? demanda-t-i

ssentiment par

in. Certains d'entre vous l'ont peut-être déjà rencontrée...

ne femme qui se tenait timidement derrière le chef du journal. C'était la même qu'i

ndirent toute la sal

bien,

mons

dé à te voir po

voulais juste ter

e te confie Brigitte, j'aimerais qu'elle

compter sur

oir quand tu

ord mon

s'approcha timidement de Luca, do

s désolé

l, on avait pas eu l'oc

tte, fi

excuses, c'était un accident. Tu peux t'a

i beau

la à côté de

tant, je

on cœur battait la chamade, son esprit bouillonnant d'une frustration mêlée d'urgence. La tache de café su

ière, un sac noir attendait patiemment, tel un chevalier servant prêt à sauver son hon

et repassée, semblait l'appeler. Un sourire

-t-il, reconnaissant envers sa prévoyance. Un vrai

ntain souvenir, relégué aux oubliettes de l'histoire. D'un pas décidé, il sortit de sa voiture et se d

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