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Amoureuse du mechant

Chapitre 5 05

Nombre de mots : 2383    |    Mis à jour : 05/05/2025

ment sucrée nous enveloppe. « Tu n'as pas le droit de faire ça ! » Je h

sol moelleux de la Salle Rose. « Voilà, c'est mieux, non ? » Il fait un pas vers moi, souriant avec arrogance.

out ça, c'était ma vie. Mais ça ? Mes instincts prennent la dé

. Je me redresse en rampant, essayant de me lever du sol matelassé et de sortir de la Salle Rose. Il attrape le talon de mon pied et me

intervenir. Je fais à peine deux pas dans la pièce quand il attrape mon épaule et me retourne brutalement. Son poing rencontre ma joue, et je m'effondre comme un sac de

prend autant, je n'en sais rien. J'ai vu des deals de drogue passer sur la table comme si de rien n'était, j'ai entendu parler de faire « disparaître »

lard me stoppe. Je suis tellement sous le choc, tenant encore ma joue gonflée, que l'idée de me baisser, de bouger, de fuir, n'effleure m

mon soutien-gorge en deux. « Je vais te montrer qui commande. » Dans sa rage, il ne prend même pas la peine de ranger son couteau, le jetant de côté avant de me pousser à nouvea

ent alors qu'il se place entre mes jambes, les écartant négligemment. Je ne sens rien d'autre que sa main sur ma

voir ce qui se

étrangement silencieux, ça me frappe. Nous sommes dans une salle p

isse du visag

u'un veut bien

nt alors que la main de Marco quitte ma nuque, glissant délibérément le long de mon corps avant de se

m'aider à me redresser. Sa main est chaude et étonnamment douce. « Qui a eu l'idée de cette fête, hein ? » Il laisse sa main sur mon épaule et m'étudie, faisant glisser l'autre ma

au sol. Ce salaud sourit, et je ne pe

je suis allé la remercier et me présenter, et j'ai tout de suite vu qu'elle était nouvelle. » Il marque une pause, feignant p

descends lentement et difficilement de la table de billard. Il retire sa veste de c

tentionnelle de soumission ou une ouverture pour un défi. « Tu me connais, tu sais que je suis

udainement et m'attire à lui, forçant ma tête contre son torse

tête. Si j'avais su que ça finirait comme ça, je n'aurais jamais joué cette comédie aussi longtemps. Après tout ça, je vais mourir de toute façon.

ng

sens pas mon sang couler, ni le monde se refermer sur moi... en fait, j'entends toujours mon pouls battre à mes oreilles, je sens encore la chaleur de sa main sur ma nuque, et ma joue me lance encore de douleur. Il me faut quelques longues secondes embarrass

s'il essayait d'être rassurant ou quelque chose comme ça. Comme si. « Quelqu'un d'autre a-t-il quelque chose à dire ou à faire à l'une de nos charmantes inv

e son arme dans son étui, et les voix se remettent à échanger des conversations et des rires, des verres sont servis, des fesses sont claquées. Je lève légèrement la tête et regarde son torse devant

soin de le voir.

sur sa chemise. Je n'avais jamais vu ses vêtements froissés. Jamais. Mes doigts semblent

as vom

ement comme ça q

ve derrière les genoux, me portant dan

ffalé sur le sol, dans une grande flaque de sang, son beau costume ruiné. Je suis reconna

e et demande un sac de glace à un cuisinier. Celui-ci lui tend un sachet de petits pois surgelés à la place, mais Alessio ne conteste pas. Je tiens les petits pois contre ma joue enflée. Ensuite, il m'emmène dans un

a douceur. Je suis tellement épuisée que j

nfus. « Tu as besoin d'aide pour l'enfiler ?

et je tire la chemise autour de moi, mon dos se plaçant dedans, et je glisse mes bras dans le

me regarde, surtout quand je suis encore plus exposée que d'habitude. Ce soir-là, je n'en ai tout simplement pas la force. Je le

ds d'une voix morne en remett

s se faire violer ? » Je sursaute en entendant ce mot. C'est vraiment ce qui a failli m'arriver ? « J'ai des oreilles partout, Katherine. Tu crois que

Je laisse échapper un rire a

c'est quoi ton histoire ? » Quand je ne réponds pas, il hausse les épaules. « C'est pas grave si tu veux pas me le dire... elles ont toutes peu ou prou la même histoire. Petit ami abusif,

» Je soupire et repose

Ce n'est pas comme si tu avais simplement franchi la porte

c lui. « Ouais, pas vra

st quoi ton

ronique, je suis venue ici pour une histoire, e

moi, secouant la tête, ébahi. « Je savais bien que

e de lui et

nue. Ensuite, tu aurais une sorte d'histoire horrible, quelque chose que tu fuis, et un des garçons t

horrible ?

lo et ce papier qua

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