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Amoureuse du mechant

Chapitre 3 03

Nombre de mots : 1641    |    Mis à jour : 05/05/2025

ination pour mes chaussure

-t-il à ses hommes, son ton tranchant. Je ne sais pas si ce ton est destiné

ul ne me jette un deuxième regard alors que toute leur attention revient sur Alessio. Je relève l

besoin de me le

tion à mesure que les verres se videront et que les cigares s'éteindront. Je soupire en m'appuyant un

ts. Pourtant, je sens que, si un jour je sors d'ici, l'hygiène impeccable de cet

je ne pourrai jamais écrire p

pir

la situation des autres femmes ici. Elles essuient les tables, nettoient les verres et servent les boissons comme si elles étaient programmées pour ça,

ne reconnais pas. Il agite un verre vide devant moi. Je je

s derrière le comptoir de remplir le verre, tout en jetant plusieurs coups d'œil

emme que toi pour avoir raté ton boulot. » Dit-il en se vantant. « Il ne me ti

coup de main. » Je lui

issant au coin de ses lèvres. « Et si on sor

r quel genre de fille tu me prends... » Avant que je puisse m'enflammer davantage et lui dire ce qu'il mérite, une des filles derrière le comptoir s'interpose entr

e porc est totalement captivé par une belle paire de seins.

it son gro

tu fais ici ? T'es nouvelle ? Alessio ne lai

rommelle, jetant un œil à la table où sa chaise reste encor

oire ? » demande-t-ell

nt son verre vide, les yeux rivés sur moi. Les hommes autour de lui semblent plongés dans une discussion sérieuse

j'appelle « le sous-monde », j'ai appri

la première semaine, mes pieds étaient endoloris et couverts d'ampoules. Si j

ppris que tout le mo

ont l'élite. Des personnalités importantes et inf

mment sur leur chaise et affichent un sourire suffisant. Un sourire écœurant, arrogant. Comme s'ils pensaient que j'allais tomber à leurs pieds à cause de ce sourire stupide. Ils cherchent un bracelet à mes poignets et mes chevil

mprègne de l'image de leur arme solidement attachée, fantasme de leur casser un verre sur la tête, puis je me rappell

appris que tout le

rête à enfiler de la lingerie et à me promener devant une salle plein

iable pour bien moins. Alessio m'a enseigné cette précieuse leçon : tout le monde peut être acheté. Et il le prouve. Il achète

eut-être, je ne suis pas pr

e serveuse. J'avais essayé à l'université, mais je suis maladroite et, apparemment, je ne suis pas non plus douée avec les clients. Finalement,

taille. Je sursaute de surprise

bablement peu convaincant. Apparemment, l'idée des pourboires n'avait pas suffi à m'inciter à être agréable da

é assis à une table avec Alessio et quelques-un

i scintillent tandis qu'il me détaille du regard. Dans d'autres circonstances, disons si j'étais sortie avec des amies et que je l'apercevais dans un bar, je pourrais baver sur lu

mains sur m

is bien q

as... euh... quoi

rien, ma bell

endrait quand même ? Je dois lutter, très fort, pour ne pas lever les yeux au cie

s là-bas, dis-je avec la voix la plus douce que je puisse

end les bras derrière moi et pose ses m

rapidement vers nous. Ils me fixent tous les deux,

e lever les serviettes - ...doi

urire. Elle prend les serviettes, embrasse mon

la ressemble davantage à un ordre qu'à une questi

ate

ati

Juste

ouri

ai jamais vue ici a

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