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Amoureuse du mechant

Chapitre 4 04

Nombre de mots : 2288    |    Mis à jour : 05/05/2025

ouri

ai jamais vue ici a

ouvelle. Év

du bar pour les rame

ant la seule personne que j'essaie habituellement d'évit

ment mes mains sur ses poignets

, mais il ne suit pas mon initia

nçant, ce qui élargit son sourire. Mais je ne

l en remontant ses mains d

ne va pas. Alors

ne main sur son épaule. Le visage de Marco, ai

arco avec une déception évidente. Mais j

e pas pris la peine de regarder. Je pousse un long soupir, légèrement secouée,

n'as pas à te soucier des factures et tout ça, lance Mia de l'autre côté de l

de la prostitution, réto

réplique-t-elle en haussant les épaules avant

une excuse plausible ou quelque chose à dire qui ne son

ant de prendre une autre bouffée de cigaret

sexe en arrivant ici. Moi, je n'avais aucune foutue idée de ce dans quoi je m'em

, en tant que « grande sœur », est censée m'aider à traverser tout ça. Mais elle ne peut pas faire gra

reste plus qu'un an, et pour être honnête, je pense mêm

é, lâché-je sa

quand j'ai commencé. Tu verras.

e dans tout ça, c'est que je n'ai rien à enfiler une fois que j'ai fini de « travailler ». Dieu sait ce qu'il

se déshabille et se g

te-t-elle peu après qu'on

ont

s voulu la visiter, mais j'ai grandi en Floride et je n'étais p

ne sur le dos pour fixer le plafond. À vrai dire, j'ai l'habitude de dormir avec un ventilateur, et j'ai beaucoup de mal à m'endormir ici sans ça. Le bruit de

lons, et les cernes sous mes yeux deviennent difficiles à cacher uniquement avec du maquillage. Ma

rait agréable de tremper mes pieds dans de l'eau salée et de m'enrouler dans un peignoir moelleux, je fais une réalisation très troublante. Je ne suis plus une journaliste. Si je l'étais, j'adorerais ça.

mon nouvel objectif. Trouver comment partir. L'histoire peut attendre, ma vie ne

rquoi, tu ne te réveilles pas dans cet état, mais tu sais que ça va arriver. À ma troisième semaine ici, je savais que c'était mon

peu près habituée. Même ma colocataire, tu sais, celle qui m'a écœurée en admettant franchement qu'elle couchait avec les types d'i

oi. Nous ne sommes pas très bien organisés. Nous essayons toujours de nous réunir pour le

e, un de mes frères est arrivé avec une balle dans l'épaule, encore fraîche, la tache de sang grandissante sur sa chemise témoignant clairement de la récente blessu

ce n'est pas pour jouer aux cartes et faire semblant de ne pas remarquer quand ma grand-mère cache des cartes dans son chemisier pour les ressortir plus tard, ce n'est pas non plus

faire semblant d'être heureuse et bien dans ma peau pour éviter de me faire tirer dessus. Je n'ai même plus peur de me faire tirer dessus. En vérité, mon esprit vacille. Je commence à me demander : est-ce que ça ferait si mal que ça ? Je commence à me demander pourquoi je continue,

e. Quand je fais une erreur, il lève les yeux au ciel avec ce petit sourire suffisant sur son visage,

bain privée de notre chambre. Je referme la porte derrière moi, laisse la lumière allumée, m'installe dans la baignoire et me laisse aller à être un véritable désastre émotionnel. Un cas désespéré. Ce genre de chose qu'Alessio tro

a journée comme si de rien n'était. Je prends une douche, traverse le couloir en serviette pour c

es autres jours. Enfin, pendant

n faisant semblant que c'est acceptable, tout en me demandant si cet

le propriétaire de c

, essayant de rester

les filles s'écartent discrètement lorsqu'il passe. Rien de trop évident, mais leurs chemins s'élargissent pour ga

e, c'est bi

je le félicite, san

pus. J'aimerais bien avoir un peu... de temps seul avec toi pour finir cette conversa

lle encore avec un hochement de tête. Je me tourne et ram

re moi. J'aurais pu l'ignorer, mais c'est plus facile à dire

souviens, fait partie de la très longue liste d'interdits qu'Alessio m'a donnée, mais comme Mia me l'a promis, personne ne peut me forcer à faire quoi que ce soit ici. Enfi

se froncent.

nquille. Garde la bouche fermée et ne rends pas les choses pires pour toi. » La

mutisme semble seulement l'agacer davantage, et quand il me saisit par le poignet pour me tirer vers lui, je fais la seule chose logique qu'une fille ferait face à un mafieux en colère avec des dizaines d'autres autour prêts à la tuer. Je l

a tête pour regarder la pièce derrière moi. Tout le monde continue comme si de rien n'était. Je remarque que certaines filles é

cir alors qu'il m'emporte plus loin. J

e pour la partie a

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