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La vengeance du milliardaire Marco

Chapitre 4 04

Nombre de mots : 2105    |    Mis à jour : 12/04/2025

7 : L'Âme

laient entre les ruelles étroites, leur regard fixé sur Sarah, qui s'éloignait d'un immeuble de bureau. Le parfum de l'angoisse était palpable, une

ton grave, alors qu'ils se glissaient derrière un coin, à q

lique. "Mais elle ne va pas tarder à découvrir qu'elle a fai

ormations sous couvert de repas innocents. Marco se sentit un frisson parcourir son dos, une sensation familière. Il avait déjà été dans cet endroit, il sa

-

ient. Sarah, assise à une table discrète, discutait avec un homme d'un certain âge, son visage caché par les ombres. Il était difficile de dire s'il s'agissait d'u

là. Quelques minutes plus tard, une image de l'homme apparut sur l'écran de Marco. C'était Giovanni Leon

s simplement en train de se protéger, elle préparait quelque chose de bien plus vaste. Ce ne serait pas une simple batail

-

une décision. "Suivons-les", dit-il avec une dé

tionnée non loin. Marco les suivit à une distance prudente, son esprit en alerte. Les rues de Rome défilaient sous leurs yeux, chaque virage, chaque lumière de rue apportant une nouvell

" demanda Alessio, l'ai

Sarah ne joue plus dans la même cour que moi. Elle a commencé à jouer avec des gens qui peuvent réel

nt proches du cœur de la machination de Sarah. Il ressentait cette même adrénaline qui l'avait envahi avant

-

approcher discrètement d'une fenêtre. L'intérieur était faiblement éclairé, mais il aperçut les

ait fou de rage. Il avait tout sacrifié pour en arriver là, et elle, elle sembl

e n'est pas juste une question d'argent. Elle s'est associée à des gen

-

ée qui s'ouvrait les tira de leur immobilité. Sarah et Giovanni sortaient à nouveau, mais cette fois, ils étaient ac

r partir", dit Marco. "Nou

s le regard. "Marco, fais attention. Tu sais qu

it risqué, mais il n'avait plus de temps à perdre. Il devait récupérer ce qui lui appartenait avant q

immeuble. La guerre entre eux, entre Marco et Sarah, venait d'atteindre un point de non-retour

-

rs pas résonnaient dans la quiétude de la nuit. Marco savait qu'il allait devoir choisir entre détruire Sarah une bonne foi

nse viendr

8 : La Tr

seulement éclairés par des lumières tamisées, comme une métaphore de la situation : tout semblait calme en surface, mais une tempête se prépara

e de passage risquait de les trahir, avait anticipé ce genre de situation. Un petit appareil électronique, qu'il tenait dans sa poche, émit un bruit discret

coin de l'espace. L'efficacité de son équipe était indiscutable. Ils avaient opéré de nombreuses fois dans l'ombre, mais ce soir, l'enje

ses nouveaux partenaires. Le voyage en ascenseur ne dura que quelques secondes, mais chaque instant semblait s'étirer interminablement. Marco senta

ois massif qui donnaient sur plusieurs appartements. Marco s'arrêta un instant, écoutant les bruits lointains derrière les portes. D

-

accélérer. Il savait que c'était là qu'il allait enfin obtenir les réponses qu'il cherchait. Ce n'é

ues secondes passèrent avant qu'une voix féminine ne réponde, celle d

tre

vanni et de deux autres hommes que Marco ne connaissait pas. Leurs regards se croisèrent alors qu'ils se levaient lentement. Marco nota immédiatem

n regard froid et calculateur fixant Marco.

Marco, sa voix empreinte d'une calme détermination. "Tu ne

ui faisant signe de rester en retrait. "Tu penses que c'est moi qui ai joué avec toi, Marco. Mais toi, tu n'a

e. "Un pion ? Tu veux dire que toute cette histoire de ven

étruire, Marco. Tu l'as fait tout seul. Tu as toujours voulu tout contrôler, tout maîtriser. Mais la vie, la vraie

vois, tu as cherché à me détruire, mais c'est toi qui t'es détruit dans le pr

en effet, le rongeait de l'intérieur. Mais il ne pouvait pas reculer maintenant. Pas ap

, "tu t'es bien trompée, Sarah. Parce qu'à la fin, il n'y

regard calculateur sur son visage. "Si tu crois que tu peux continue

est pas ce que tu crois. Sarah a son propre plan, e

n'ai besoin de personne pour me dire ce que je dois faire. Je sais t

-

rte s'ouvrant brusquement. Un groupe d'hommes armés entra dans la pièce, des mercenaires, tou

cider s'il allait écraser l'ensemble de leur empire, ou bien s'il allait accepter la rédemption et aller au-delà de sa

e question le hantait désormais : jusqu'où pourrait-il aller pour atteindre la paix intérieure qu'il

sa fin. Mais était-il prêt à en

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