La vengeance du milliardaire Marco
La Patience
x fixés sur la mer lointaine qui scintillait sous la lumière des étoiles. C'était là, dans cette solitude, qu'il se sentait le plus vivant. C'étai
soir, la haine étai
ne l'avait pas entendu arriver. À la place, il fixa l'homme dans l'ombre de la pièce, o
o, d'une voix calme mais pleine de préoccupations. "
egard aussi glacial que l'air nocturne. "Je n'
rre de whisky. Un verre, puis un autre. Il en avait besoin pour étou
ons qu'il avait réunies sur elle. Il connaissait chaque détail de sa vie actuelle. La maison dans le quartier huppé de Milan, son mari, un homme d'affaires
ent Alessio, s'approchant. "Elle a changé, toi
qu'il n'arrivait même pas à comprendre. Il n'avait jamais voulu qu'elle parte, mais elle l'avait fait, et de la pire des manières. Elle avait détruit sa
rir", dit Marco
cousin était sur le point de franchir une ligne. La question était : s
ssio calmement. "Tu crois que cela te soulagera, mais au
ains. Il savait que son cousin avait raison. Mais il savait aussi que cette vengeance
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mais chaque moment de répit était consacré à Sarah. Il ne voulait pas se précipiter. Non, il devait to
simplement la confronter. Il voulait la briser, la faire tomber comme il était tombé. Il vo
pour découvrir tout ce qu'il y avait à savoir sur elle. Les informations affluent. Elle se rendait dans des caf
apporta un détail qu'il attendait :
yé cette lettre. Mais il n'était pas encore prêt à se dévoiler. Pas encore. Il voulait encore plus de détails.
-
cision à prendre. S'engager pleinement dans cette vengeance était une chose, mais était-ce la seule voie ? Les doutes
t'ai organisé une réunion avec tes anciens partenaires. Ils i
re prêt à s'y plonger. Ce n'était pas l'heure des négociations. Pas encore. Sarah,
une dernière fois vers son bureau, la silhouette de l'homme qu'il était devenu se dessinant da
dible, il se dit : "Elle n
Le Masque d
fenêtre de sa chambre, une tasse de café à la main, observant les champs de vignes qui s'étendaient à perte de vue. L'I
es, et maintenant, il se préparait à affronter son passé. Un passé qu'il ne pourrait jamais effacer, mais qu'il pou
o. "La réunion de demain avec tes anciens partenaires est con
une fin en soi. Ce n'était pas l'argent qui comptait désormais. C'était la vengeance. Le pouvoir serait un moyen d'atteindre son but. Il se leva, se dirigeant vers le dr
-
s et des femmes puissants, représentants des secteurs dans lesquels il avait investi. Ils étaient là pour lui, pour sa vision. Mais Ma
uent dans plusieurs de ses projets. Marco lui tendit la main avec un sourire courtois mais sans chaleur. Il savait ce que voulait Gian
", répondit Marco d'une voix calme. "Mais je vous e
it absent. Ses pensées étaient ailleurs. Il pensait à Sarah, à la façon dont il allait la faire tomber. À chaque mot prononcé par ses associés,
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vé, mais ne s'était engagé sur aucun projet. Ce n'était pas ce qu'il recherchait. Ce qu'il voulait, c'était que tout le monde v
iture, Alessio l'attendait
a question de manière intrusive, mais plus comme un c
d'œil au paysage qui défilait. "Tout va
r distant, encore plus que d'habitude. T
pas encore souffert. Mais elle va le faire.
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is cela ne l'effrayait pas. Il savait comment contourner ces obstacles. Il avait tout prévu, chaque détail. Il s'était entouré de personnes de confianc
oit discret, réservé à l'élite. Ce club, avec ses membres influents et ses conversations secrètes, serait le terrain idéal pour lancer s
qu'elle avait épousé. Ce mari qu'elle avait choisi pour remplacer l'hom
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de calculs. La vengeance se dessinait lentement, méthodiquement, chaque étape préparée comme un chef-d'œuvre
r. La haine était son moteur, et la vengeance, la seule chos
ra-t-il une dernière fois,
partie n'était pas encore terminée, m