LA VIERGE SOUS CONTRAT

: Le Poids

e vue d'

ière, mes mains agrippaient le tissu de ma robe, comme si cela pouvait empêcher ma vie de se déchirer davantage. La robe bl

r, un homme grand et imposant, avec des traits qui tra

ouvement de tête, i

te question quand tout en moi hu

s heures

out se passera bien, me répétait ma mèr

pesait sur nous. Elle voulait que je lui pardonne. Elle espérait que je

que tu m'aies fait ça, mu

ard, ses mains tre

xence... il est notre seule chance de garder le

C'est moi qui dois épouser cet homme. Moi qui dois viv

is je refusai de les laisser co

peut-être dur, mais il est juste. E

amère

venant la femme d'un homme

qu'il était inutile de discuter davantage. J'étais dé

dans la

n édifice imposant, presque effrayant, se dessinait à t

nonça le chauffeur e

jambes refusa

ai-je à moi-même en prenan

vent glacial me mordait la peau. Deux hommes en costume

s attend dans le salon pri

ussi grandiose qu'il était, ne respirait pas la chaleur. Chaque pas ré

s, je

e Dela

n regard, glacial mais perçant, se posa sur moi. Mon cœur s'emballa. Pas à cause de son charisme – bien q

e voix grave et posée. Aurélia, b

, ma colère prenant

voulez dire votre décisio

musé effleur

ose. Mais permettez-moi de clarifier quelque chose : dan

raite comme une marchandise, répliqua

t, remplacé par une

ouer, Aurélia. Vous remplirez l

fusant de baisser les yeux. Il me terrifiait, mais

un pion dans vo

n verre toujours en main, e

es bien plus qu'un simple pion. Vous êtes la reine. E

étaient peut-être flatteurs, mais

it. Dans quelques jours, je serai mariée. Mariée à un homme que je ne connais pas, que je n'ai pas choisi, et que je ne veux

age familial. Mais à mes yeux, ce domaine, ces terres, ces murs froids, ne valent pas ma liberté. Elle dit qu'elle n'avait pas le choix, qu'elle l'a fait

vertes. Mais au lieu de cela, je suis enfermée dans une cage dorée, promise à un homme dont le nom seul suf

ai toujours considérée comme mienne. Mais aujourd'hui, cette virginité semble être une autre chaîne qui me l

endurer. Mes frères et sœurs, plus jeunes, ne comprennent pas vraiment ce qui se passe. Ils voient ce mariage comme une

seule et accablée. Depuis, elle s'est battue pour maintenir notre famille à flot, mais à quel prix ? Je me demande souvent ce qu

er. Mais une chose est sûre : je ne laisserai pas cette haine, cette colère, me consumer. Si je dois entrer dans cette union, ce sera av