LA VIERGE SOUS CONTRAT
: Les Liens
e vue d'
rte de calme avant la tempête. Peut-être avais-je accepté l'inévitable, ou peut-être n'avais-je plus assez de force pour
et de coiffeurs s'affairait autour de moi, me parlant comme si j'étais une princesse impatiente de rencontrer son prince. Si seulement
s la pièce, un sourire ne
ent, ses yeux brillant d'une émotio
ui dire, rien que je n'avais déjà crié
curité que je ressentais dans mon cœur. Les invités étaient nombreux, des figures inconnues au
vais l'impression que tout le monde pouvait l'entendre. Mon regard s'attarda sur ma mère, assise fièrement au premier rang, rayonnante comme si elle assistait au pl
noir impeccable, il était aussi imposant que la première fois que je
un sourire chaleureux, mais une expression calculée, comme s'il
ide, murmura-t-il
e choix, répliquai
is son regard soutint
marteau dans ma tête. "Union", "fidélité", "amour"... Des mots vides de sens dans c
ux, Maxence parla le premie
de vous honorer, vous protéger, et vo
ant, ses yeux s'anc
qu'il e
nvoya un frisson dans mon dos. C'était
ai légèrement les poings, mon
court... commençai-
rdait, mais je ne voyais que Maxence. Il semblait atte
ous accompagner dans cette union, dis-je f
t magnifique, lourde, mais je n'y voyais qu'un symbole de possession. Maxence guida douce
mari et femme"_ –, je sentis mon estomac se nouer. Maxence se pencha
ma vie, Aurélia
r de me sentir étrangère à tout cela. Les sourires, les éclats de joie, tout me semblait faux. Ce
e que ce n'est pas la fin. Peut-être que je peux encore
. Sourire, saluer, être la parfaite épouse. A
t des éclats de lumière sur les visages des invités. La musique jouée par un orchestre discret emplissait l'air d'une ambiance luxueuse, mais pour moi, tout cela ressemblait dava
lme parfait, presque froid. Mais à l'intérieur, la colère e
ur le marbre, et son parfum familier me ramena brièvement à mon enfance. Mais ce doux souvenir fut rapideme
murmura-t-elle en ajustant un
ant les dents pour ne pas répond
arde ces invités, tou
e vers elle, laissant tomber
voir vendue déguisée en épouse, répondis-j
etomber. Elle détourna les yeux, cherc
soupira-t-elle. Pense à l'avenir.
étorquai-je. Certain
lement, elle hocha la tête et s'éloigna, son expressi
buffet, loin de l'agitation des invités. Julien, l'aîné après moi, te
es au centre de l'attenti
able de m'empêcher de sourire lé
lleurs, soufflai-je, le regard va
quinze ans, elle ne comprenait pas encore toutes les implicat
rélia ? demanda-t
à sa hauteur et posai
sourire que je voulais rassura
t les sourcils, posant
t homme te manque de respect... tu sais que je
te, touchée par
ien. Mais je
outais leurs compliments, et échangeais quelques mots avec Maxence lorsque le moment l'ex
ces invités voyaient, ce que ma famille voyait, c'était une femme forte, une épouse digne de
une experte en