LA VIERGE SOUS CONTRAT
: L'Ombre d
e vue d'
eur du véhicule était presque assourdissant, brisé uniquement par la voix grave de Maxence qui parlait en italien au télép
ments de mon cœur résonner dans ma poitrine. Le mariage était fini, mais une autre étape se pr
tant entre deux conversations téléphoniques. Je ne savais pas ce qui me terrifiait le plu
. Il était entièrement absorbé par son monde, celui des affaires, des appels codés, des accords dans l'ombre. Cel
à ma propre insignifiance dans cette union. Je n'étais pas sa partenaire, pas son égale. J'étai
te."_ Que savait-elle de cet homme ? Rien, ou peut-être tout ce qu'elle voulait bien croire. Elle m'avait poussée dans
vait regardée avec une innocence troublante. Eux au moins semblaient croire que j'étais capable de surmont
de était rempli de danger, de mystère, et d'ombres. Je me demandais si je pourrais u
dans la poche intérieure de son costume. Il se tourna
ilencieuse, r
ers lui, cherchant une réponse
rand-chose à di
cil, son expressi
l'air terrifiée quand
ent ma robe, déto
le suis, répondis-je, ma
ponse. Au contraire, un léger sour
nde, la peur peut être une arme. Et parfo
bien que troublantes, ne faisai
e la portière s'ouvrait et que l'air frais de la nuit me frappait, je savais que cette étape marquait le début de
n que je ne comprends pas, et qu
e vue de
parence impeccable que j'avais portée toute la journée. Mais même sans
rdue dans ses pensées, et je pouvais presque sentir la tension qui émanait d'elle. Je savais pourquoi elle étai
bruit du bouchon qui sautait résonna dans la pièce, brisant le silence pes
dis-je d
hésitante, avant de prendre l
use ? demandai-je, bien que j
a-t-elle, évit
'elle, prenant une gorgée de vin ava
ia, dis-je calmement. Vous ne dev
vers moi, un éclat de
it-elle, sa voix
un sourire léger ef
répon
gts jouant nerveusement avec le bord. Puis,
aime pas. Un homme qu'elle n'a jamais appris à connaître, qu'elle a rencontré en un
te, incapable de soutenir son regard. Elle avait raison. Chaque
un pas vers elle. Elle recula instincti
peur de moi,
i doucement son bras, sentant
sentez, dis-je. Je sais que to
rs moi, des larmes ro
une femme. Je n'ai jamais su comment les comprendre, comment les app
ause, cherch
i, j'ai accepté sans réfléchir. Pas parce que je voulais vous p
nt les sourcils, mai
dis-je, ma voix se brisant légèrement. Non. Tout ce que je désire, c'est une femme à mes côt
arrière, lui lais
rsonne ne m'a jamais montré ce qu'était l'amour. Tout ce que j'ai fait, c'est tuer, encore e
rant qu'elle puisse voir la
rmurai-je. Mais je vous demande de me donner une
e ne pouvais pas effacer ce que j'étais, ni ce que j'avais fait. Mais pour la pr
continuant de couler. Et moi, pour la