Il Patto dei Cuori
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ésitation dans sa voix. Elle marchait dans les couloirs de la villa Mariani comme une femme qui avait
ntaire des noms, des alliances, des trahisons camouflées dans les sourires polis. Même les domestiques n'étaie
lle voulait com
e. Tantôt glacial, tantôt presque tendre. Tantôt cruel, tantôt protecteur. Il ne cherchait p
vaient les vestiges guerriers de leur histoire. Épées anciennes, dagues gra
ain de fixer une vieille lam
dit-elle en entrant. « On célèbre notr
in des lèvres. « Ce n'est pas une union,
lors dis-moi ce que je dois sa
ngtemps. Puis, lent
u ignores, c'est que les Mariani sont surveillés. Deux familles rivales attend
s sourcils. «
argent, des armes... et des hommes prêts à mourir pour se venger. Ils pensent que ton p
rcourir l'échine. « Et tu penses qu
er. Parce que tu n'es pas comme ton père. Et parce que tu compr
x poignard exposé dans une vi
raîtres. Que je joue la belle
tu deviennes
ntenant. Il ne cherchait pas une épouse. Il cherchait une a
urmura-t-elle. «
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rition en tant que future Vitale. Robe noire vertigineuse, regard acéré, sourire savamment dosé.
mains trop curieuses. Elle laissa
éminin pour les représenter. Une voix douce pour leur
jolie idée. Mais les fondation
ce moment-l
it ave
dans les siens, baissa lé
bientôt une Vitale. Si vous me regardez comme une jolie di
lme, presque sen
une seconde. Mais
n était
it de faire sa p
enfonçait dans son rôle de future Vitale comme on s'enfonce dans un costume taillé sur mesure. C
ait, les conseillers de Leonardo baissaient les yeux avec une forme de respect mêlé de prudence. Même le
n qui ne la perdait pa
dans Florence, en retrait, tapi dans l'ombre de ses convictions. Et lorsque Giuliana reçu
ec des gestes ra
e guerre, je serai là. Tu ne dois pas devenir comme
t pas eu besoin. Son écriture,
glissa dans la doublur
générations. Un repas en apparence informel, mais tout était politique désormais.
ilencieux. Il fixait le paysage n
u sais qu'ils vont me tester. Ils
roire ce qu'ils veulent. Puis ch
sourire. Un vrai.
te mordai
. « Alors j'espère
te, le menton levé, escortée par un Leonardo à l'allure létale. Les Franchetti les accu
able, les jeux
tour d'un toast, Camilla Franchetti, la nièce du patriarche
a brisé un cœur avant de venir. Un
nce s'i
ent les yeux. Un souri
ai juste refusé de mourir pour quel
les lèvres. Juste assez pour
ils, surprise par la rép
biance av
le salon, Giuliana s'isola sur la terrasse. Elle avait besoin d'
es instants plus tard. Il re
un moment : « Tu
ondit pas t
rifie, Leonardo ? » mur
is-
ommence à
ixa. Lo
tement là où je vo