Il Patto dei Cuori
a pas à l'intérieur
ndus comme une corde prête à rompre. Elle avait la nausée. Un vertige. L'impression de n'avoir plus aucun repère. Ce triangle absurde où l
tit matin, alors que la villa se réveillait lentement, el
voulait l
faires sérieuses. Les volets étaient à moitié fermés, la lumière dessinant des raies pâles sur le
ieds-
battait si fort qu'elle peinait
scapade au jardin, » commença-t-il s
répond
Il n'a rien. Pas d'avenir. Pas de nom. Pas de terre. Toi, tu port
ue tu as bradé à la table des Vitale ? Ce nom qu
lèrent d'un éclat dangereux. « Ce nom, Giuliana, c'est tout ce q
eculer cette fois. « Tu ne m
e. Long.
que fragile : « Ce mariage nous sauve. I
e, écœurée. « Ce m
Il aura lieu dans dix jours. Prépare-toi. Ou
les bras pendants, le cœur battant cont
-
était seul, adossé contre l'un des piliers en pierre,
en en la voy
de lui. « Tu savais, n'est-
pérais. Il lui fallait un dernier
lle, frissonnante. « Tu n'as
besoin. Tu allais
t avec cette intensité sombre qu
piégé. Tu veux savoir pourquoi j'ai accepté ce mariage ? Pas pour ton nom. Pas pour les parts de
a, interdite.
t une erreur. Une dette qu'on n'a pas le droit de contracter
t entre eux comme u
u me dis ça
entement. Chaque pas s
Pas comme ça. Mais je veux que tu me comprennes. Parce qu'on a peut-ê
plir de larmes. Pas de chag
d'un peu d
it Leonardo non pas comme un bou
re sac
-
partageaient les repas dans un silence pesant, traversaient les mêmes couloirs, montaient dans les mêmes voi
quelque chose
à comprendre ce qu'elle taisait derrière ses silences, ses gestes brusques, ses sourires de façade. Qu
la villa Vitale pour marquer l'union entre les deux héritiers. Tous les regards seraien
rait comme on s'ap
-
ception, elle ét
atinée, dos nu. Pas un bijou. Juste la pureté brutale du tissu et de son regard. Ses cheveux relevés en chignon fl
sta figé quelques secondes. Il portait un costume noir classique, cravate fine
rs elle. Lui t
ta... pui
s de velours empoisonné, ils avançaient ensemble. Comme deux stat
rdins, Giuliana se réfugia dans la galerie d'art privée de la villa. Une pièce v
femme seule au milieu d'un champ en feu. La solit
tée dans les fl
. Leonardo se tenait à q
ui
t été promise à un homme cruel. Elle a mis le feu à ses terres
x du tableau. « Tu me con
'être plus maligne qu'elle. Si tu veux survivre,
n instant, puis s
me si j'avais e
e choix de la façon dont tu vas te battre. Tu pe
Tu veux que je sois comme toi ? Fro
fle. « Je veux que tu sois plus dangereuse que moi. Parce que
nniers l'un de l'autre, de cette gue
sous, Leonardo tendit la main et effleura doucement la
e recu
ne céda pa
mètres seulement. L'électricité dans l
cun d'eux ne fr
savaient que
nt commenc